Mieux comprendre les ados d’aujourd’hui
Tout d'abord, nous feuilletons un roman sur les ados qui explique pourquoi la technologie est une partie intégrante indéniable de leur vie. Ensuite nous allons découvrir un projet qui invite les jeunes justement à redécouvrir la nature.
Christine Leșcu, 07.04.2021, 19:12
Aujourd’hui nous nous tourons vers les adolescents d’aujourd’hui, dans
une tentative de mieux les comprendre. Tout d’abord, nous feuilletons un roman
sur les ados qui explique pourquoi la technologie est une partie intégrante
indéniable de leur vie. Ensuite nous allons découvrir un projet qui invite les
jeunes justement à oublier un peu l’univers virtuel dans lequel ils passent une
bonne partie de leur vie et à redécouvrir la nature.
Les jeunes
d’aujourd’hui passent trop de temps sur les réseaux sociaux, tout le monde
l’affirme. Mais pouvons-nous vraiment nier leur accès à la technologie ?
Mieux vaut comprendre et accepter que les ados d’aujourd’hui ont une jeunesse
différente de la nôtre, estime l’écrivain roumain Dan Lungu, qui est aussi père
d’un garçon pré-adolescent.
« Vloggueur à 13 ans » – ainsi s’intitule le livre le plus récent écrit par Dan Lungu, écrivain prolifique et très apprécié, dont les ouvrages ont été portés à l’écran, mis enscène et traduits dans une quinzaine de langues, sans plus parler des différents prix dont ils ont été récompensés. Cette fois-ci, Dan Lungu a trouvé son inspiration dans la vie de son fils pré-adolescent, Filip. Il a toujours été proche de son fils et suivi de près son évolution, la racontant dans ces textes. « Vloggeur à 13 ans » est un roman ciblé sur la technologie numérique qui a accaparé l’enfance et l’adolescence de nos jours. Les jeunes ne peuvent plus s’en séparer, constate l’écrivain Dan Lungu au micro de notre collègue Christine Lescu.
Quoi de mieux
pour cette période durant laquelle les élèves et lycéens déroulent des cours à
distance que de participer à des programmes éducatifs pas comme les autres au
milieu de la nature, parmi des arbres et des plantes en toute sorte ?
C’est justement ce genre de programme qu’a déroulé cet automne la Fondation Pro
Patrimonio par le biais d’un deuxième atelier d’un projet appelé « L’école
de paysage, art et son à la Maison George Enescu », déroulé à Mihaileni,
comté de Botosani, dans le nord de la Roumanie. Qui ont été les enfants à y
avoir participé et qu’est-ce qu’ils y ont découvert ? Réponse, avec
Andreea Machidon, coordinatrice du programme d’éducation par le patrimoine de
la fondation ProPatrimonio, au micro de Christine Lecu.