Le courrier des auditeurs 01.08.2014
Ioana répond à vos messages...
Ioana Stăncescu, 01.08.2014, 12:47
Comment allez-vous ? En Roumanie, les orages sont de retour et j’avoue qu’il est de plus en plus difficile de profiter de l’été vu les pluies déjà quotidiennes. Mais bon, on n’y peut rien et tout ce qui nous reste à faire est d’espérer que les caprices météorologiques passeront le plus vite possible. Je vous invite à nous déplacer en France, du côté de Villefranche sur Saone pour passer le bonjour de nous tous à notre cher auditeur Maurice Mercier. Comment allez-vous ? C’est très agréable d’apprendre que vous êtes « toujours très intéressé par nos programmes ». Sur leur ensemble, vous affirmez avoir particulièrement aimé celui intitulé « Planète verte ». Une rubrique très appréciée par nos auditeurs et qui nous donne l’occasion de partir à la découverte de la Roumanie éco ! Ceci dit, on vous souhaite une excellente écoute de nos émissions et au plaisir de vous lire !
Bonjour ou bonsoir à vous, cher Jean Barbat de Beaumont, en France et quoi de neuf de votre côté ? Merci à vous pour le rapport d’écoute bien détaillé et merci de considérer nos émissions « agréables à entendre ». Quant à l’interprète de musique traditionnelle dont vous évoquez le prénom, eh bien, elle s’appelle Irina Loghin et elle est considérée comme une grande voix de chant traditionnel de la région d’Olténie, dans l’est de la Roumanie. Malheureusement, nos horaires ne peuvent pas contenter tout le monde. Comme vous le savez déjà, nous sommes plusieurs sections en langues étrangères qui se partagent les mêmes fréquences et donc, nous devons faire de notre mieux afin de contenter les auditeurs du monde entier. Pourtant, à ce que je sache, peu d’écouteurs se sont plaints du créneau horaire compris entre 11 et 15 heures qui contente apparemment nos amis à la retraite.
Buna ziua, draga Jean-Marc Olry et ce mai faci ? C’est avec grande joie que je viens de parcourir ta lettre et je suis très heureuse d’avoir de tes nouvelles. Tu sais, t’es pas le seul à constater qu’il faut travailler plus pour gagner le même salaire. Parfois, c’est pire, le salaire diminue et les prix augmentent. Mais bon, c’est la crise économique partout dans le monde et la Roumanie n’y fait pas exception. Cela fait déjà quelques mois que Valentina est de retour, que le temps passe vite, n’est de pas ? Son bout de choux a déjà deux ans, c’est une toute petite demoiselle. Quant à la mienne, elle fait grande, elle a neuf ans et déjà elle approche à grand pas la pré-adolescence. Mon blog est toujours là, il t’attend les bras ouverts, à chaque fois que tu as envie d’avoir de mes nouvelles. Pour les leçons de roumain, tu auras l’occasion cet été d’écouter des rediffusions en fin de chaque courrier. Je ne connais vraiment pas la chanson roumaine diffusée sur France Inter, le titre ne me dit rien du tout. Je vais en parler à Dominique, elle connaît mieux que moi la musique roumaine. Bon et voilà, cher ami, en fin de message passe le bonjour de nous tous à ta mère, nous sommes flattés de la savoir à l’écoute de nos programmes et nous sommes très contents que nos recettes vous intéressent. En fait, la cuisine roumaine est très bonne, bien que parfois un peu trop lourde. Gros bisous de Bucarest et je vais proposer à Dominique de consacrer une édition de son cours de roumain aux expressions que tu proposes. Bisous !
Déplaçons-nous au Japon pour passer le bonjour de nous tous à notre cher Osamu Aikawa, un ami très fidèle à nos programmes qui élabore des rapports d’écoute vraiment fantastiques tant ils sont riches en détails. Je me demande comment vous faites pour retenir tant d’informations, c’est de la magie, n’est-ce pas ? Cher ami, bien sûr que votre travail sera confirmé par des cartes QSL, vous les méritez bien. Sinon, j’espère que tout va bien au sein de votre famille, nous espérons recevoir de bonnes nouvelles de vous et on vous souhaite une excellente écoute de nos programmes. Bisous de la part de nous tous !
Prochaine destination — l’Algérie pour un petit coucou amical à Ferhat Bezazel. Merci à vous de continuer à nous écouter et merci de rédiger des rapports d’écoute. Nous sommes vraiment contents de constater que la réception est bonne de votre côté ! A bientôt pour vous lire et bonne continuation sur nos ondes !
Retour en Algérie pour passer le bonjour de nous tous à notre auditeur Abdelillah Boubchir qui nous écrit avoir navigué sur un site présentant la culture et la gastronomie roumaine et du coup, il a voulu goûter un dessert traditionnel. Par conséquent, il a demandé à sa mère d’en préparer un et c’est comme cela qu’il a eu la joie de découvrir des galettes au fromage blanc spécifiques à la cuisine de la région de Dobroudgea. Cher ami, nous sommes vraiment content que cela vous ait plu et toutes nos félicitations à votre mère puisque la recette n’est pas simple du tout, mais c’est vrai que le résultat est délicieux ! Petit bémol : la recette s’inspire notamment de la cuisine grecque, puisque la Dobroudgea est habitée par une forte minorité grecque. Et puisque cette galette est tellement bonne, permettez-moi de partager la recette avec nos amis. Alors, pour les ingrédients, il vous faudra un paquet de pâte feuilletée surgelée, un paquet de margarine sans sel, un peu de chapelure, 250 grammes de fromage blanc cottage, 250 grammes de fromage « Feta », 250 grammes de yaourt nature, 4 œufs et une cuillerée à café de levure. Prenez une tôle rectangulaire, beurrez-la copieusement avec de la margarine et parsemez-la de chapelure. Commencez à mettre les feuilles de pâtisserie, une à une, sur la tôle, en les enduisant de margarine fondue. Nétendez pas les feuilles, mais au contraire froncez-les pour donner de la légèreté à la pâtisserie. Dans un bol, râpez le fromage « feta » et incorporez-le au fromage blanc, ajoutez-y le yaourt, les oeufs entiers et la poudre à lever. Bien mélanger. Mettez au fond trois feuilles, chacune delles bien enduites de margarine et commencez à mettre le mélange de fromage. Continuez jusqu’à ce qu’il ne vous reste pas de feuilles. Prenez avec le bout des doigts les bords de la pâtisserie et rabattez-les pour que le mélange ne déborde pas en cuisant au four. Aspergez de margarine la feuille du dessus et, au moment de mettre la galette au four (à 210°C), versez par dessus ½ tasse deau froide. Dès que la « placinta » est dorée sortez-la du four, coupez-la en carrés et servez-la chaude. Bon appétit !
Très bonne fin de semaine à toutes et à tous!