Mémoire – Me Moi Re
Sur la surface où elle est tracée, la ligne commence, d’habitude, en toute timidité. Ensuite, elle s’élance, se ramifie, prend les formes les plus étranges, d’êtres ou d’objets, elle danse, folle, et se pare de couleurs pour finir, à nouveau, en toute humilité, dans un autre coin de la surface à dessiner. Des desseins et des fresques en un seul trait sont la marque de fabrique de George Bodocan, artiste roumano-français avec un parcours personnel tout aussi insolite que son art. Cet homme des décisions radicales vit dans la capitale française depuis une dizaine d’années, où il a presque tout essayé en matière d’art, dans presque tous les types de milieux, modestes ou aisés. Cette aventure personnelle, parfois incroyable, se dévoile dans « Mémoire – Me Moi Re », une exposition tout aussi audacieuse, accueillie, jusqu’au 31 mars, par l’Institut culturel roumain de Paris.
Andrei Popov, 28.03.2017, 17:36
Sur la surface où elle est tracée, la ligne commence, d’habitude, en toute timidité. Ensuite, elle s’élance, se ramifie, prend les formes les plus étranges, d’êtres ou d’objets, elle danse, folle, et se pare de couleurs pour finir, à nouveau, en toute humilité, dans un autre coin de la surface à dessiner. Des desseins et des fresques en un seul trait sont la marque de fabrique de George Bodocan, artiste roumano-français avec un parcours personnel tout aussi insolite que son art. Cet homme des décisions radicales vit dans la capitale française depuis une dizaine d’années, où il a presque tout essayé en matière d’art, dans presque tous les types de milieux, modestes ou aisés. Cette aventure personnelle, parfois incroyable, se dévoile dans « Mémoire – Me Moi Re », une exposition tout aussi audacieuse, accueillie, jusqu’au 31 mars, par l’Institut culturel roumain de Paris.
Pour nous ouvrir quelques portes vers ses archives mentales nous avons, par téléphone, George Bodocan, l’artiste visuel lui-même, et, dans le studio de RRI, Léo Landon, chargé de communication de cet événement.
« Mémoire », jusqu’au 31 mars à l’ICR Paris, au n° 1 Rue de lExposition.