Trois ans après…
Il y a des cycles dans la vie des institutions aussi. Et c’est tout à fait naturel car les institutions n’existent pas par elles-mêmes, mais par le travail, l’enthousiasme et le savoir-faire que les gens qui les font investissent dedans. Ces jours-ci, une étape se termine à l’Institut français de Roumanie. Une partie de l’équipe, les directeurs des filiales de Bucarest, Timisoara et Iasi terminent leurs mandats. Il y a trois ans nous les accueillons sur cette antenne, à leur arrivée dans le pays, et nous avons voulu savoir aujourd’hui comment la boucle se boucle. Dialogue tout à fait informel avec Christophe Pomez, attaché culturel et directeur délégué de l’IF de Bucarest, Daniel Malbert, directeur de l’IF de Timisoara (ouest) et Alain Ramette, directeur de l’IF d’Iasi (est).
Andrei Popov, 29.08.2016, 18:05
Il y a des cycles dans la vie des institutions aussi. Et c’est tout à fait naturel car les institutions n’existent pas par elles-mêmes, mais par le travail, l’enthousiasme et le savoir-faire que les gens qui les font investissent dedans. Ces jours-ci, une étape se termine à l’Institut français de Roumanie. Une partie de l’équipe, les directeurs des filiales de Bucarest, Timisoara et Iasi terminent leurs mandats. Il y a trois ans nous les accueillons sur cette antenne, à leur arrivée dans le pays, et nous avons voulu savoir aujourd’hui comment la boucle se boucle. Dialogue tout à fait informel avec Christophe Pomez, attaché culturel et directeur délégué de l’IF de Bucarest, Daniel Malbert, directeur de l’IF de Timisoara (ouest) et Alain Ramette, directeur de l’IF d’Iasi (est).