Marily Le Nir – Le goût de la traduction littéraire
Née en Roumanie dans les années ’30, elle a été professeur d’allemand. C’est une fois à la retraite qu’elle se dédie à la traduction littéraire, une activité qu’elle n’associe pas à du travail, tant
elle trouve cela passionnant. C’est à elle qu’on doit la traduction en français
des œuvres de Norman Manea, Florina Ilis et Eugen Uricaru, pour ne citer que
quelques-uns des écrivains roumains qu’elle a choisi de traduire.
România Internațional, 16.10.2019, 15:00
Née en Roumanie dans les années ’30, elle a été professeur d’allemand. C’est une fois à la retraite qu’elle se dédie à la traduction littéraire, une activité qu’elle n’associe pas à du travail, tant
elle trouve cela passionnant. C’est à elle qu’on doit la traduction en français
des œuvres de Norman Manea, Florina Ilis et Eugen Uricaru, pour ne citer que
quelques-uns des écrivains roumains qu’elle a choisi de traduire.
Les livres cités dans l’interview :
Nicolae Steinhardt – Le journal de la félicité, Arcantères
Florina Ilis – Les vies parallèles, Editions des Syrtes
Florina Ilis – La croisade des enfants, Editions des Syrtes
Ioana Pârvulescu – La vie commence vendredi, Editions du Seuil
Une interview réalisée par Elena Diaconu dans le cadre du Festival de litétrature et de traduction FILIT.