Les morts et la nation, visite au cimetière de Bellu (deuxième partie)
Cette semaine le café des francophones se déplace dans ce lieu insolite quest le cimetière de Bellu, où nous sommes accompagnés du Professeur Rodica Zane. Dans cet épisode, nous nous arrêtons dans le secteur où reposent les figures de lÉtat-nation roumain. Nous naviguons entre Mihai Eminescu, Ion Luca Caragiale et dautres, peut-être moins reconnus et plus contemporains, comme Nichita Stanescu. Dans cet endroit, viennent de simples citoyens entretenir les tombes. Ce faisant, ils créent un lien avec la nation par lintermédiaire de ses visages les plus connus. Ces pratiques sont dune certaine façon le reflet dune idée spécifique de la nation, inculquée par lEtat. Mais, comme nous le verrons, cette vision de lhistoire est également contestée par ces mêmes citoyens.
Antoine Heemeryck, 29.08.2015, 13:30
Cette semaine le café des francophones se déplace dans ce lieu insolite quest le cimetière de Bellu, où nous sommes accompagnés du Professeur Rodica Zane. Dans cet épisode, nous nous arrêtons dans le secteur où reposent les figures de lÉtat-nation roumain. Nous naviguons entre Mihai Eminescu, Ion Luca Caragiale et dautres, peut-être moins reconnus et plus contemporains, comme Nichita Stanescu. Dans cet endroit, viennent de simples citoyens entretenir les tombes. Ce faisant, ils créent un lien avec la nation par lintermédiaire de ses visages les plus connus. Ces pratiques sont dune certaine façon le reflet dune idée spécifique de la nation, inculquée par lEtat. Mais, comme nous le verrons, cette vision de lhistoire est également contestée par ces mêmes citoyens.