Le son des mots d’Irina Teodorescu
Pour sa deuxième édition « Le son des mots », le magazine littéraire de RRI, sinstalle dans son QG de la librairie Kyralina, partenaire de ce programme. Dans cet environnement, la réflexion sur la littérature, lécriture, le choix des sujets, est plus que naturelle. Justement, comment devient-on écrivain, inventeur dhistoires et de vies dans une langue quon ne connaît pas avant lâge adulte ? Dans un tel cas, limagination puise-t-elle, sans le savoir, sans le vouloir, dans les sources dont on croît sêtre détaché ou bien dans celles que lon vient de découvrir ? Cette création parle davantage à quel public – celui qui découvre ou celui qui se rappelle les choses ? Valentine Gigaudaut et Ileana Taroi en parlent de tout cela, et de bien plus, avec les invités du « Son des mots » – lécrivaine franco-roumaine Irina Teodorescu et Evelyne Lagrange, de la maison dédition Gaïa, qui a publié les deux romans dIrina Teodorescu – « La malédiction du bandit moustachu » (2014, Prix André Dubreuil du premier roman et Prix Europe de l’Association des Écrivains de Langue Française) et « Les étrangères » (2015).
Brigitta Pana, 23.06.2016, 15:51
Pour sa deuxième édition « Le son des mots », le magazine littéraire de RRI, sinstalle dans son QG de la librairie Kyralina, partenaire de ce programme. Dans cet environnement, la réflexion sur la littérature, lécriture, le choix des sujets, est plus que naturelle. Justement, comment devient-on écrivain, inventeur dhistoires et de vies dans une langue quon ne connaît pas avant lâge adulte ? Dans un tel cas, limagination puise-t-elle, sans le savoir, sans le vouloir, dans les sources dont on croît sêtre détaché ou bien dans celles que lon vient de découvrir ? Cette création parle davantage à quel public – celui qui découvre ou celui qui se rappelle les choses ? Valentine Gigaudaut et Ileana Taroi en parlent de tout cela, et de bien plus, avec les invités du « Son des mots » – lécrivaine franco-roumaine Irina Teodorescu et Evelyne Lagrange, de la maison dédition Gaïa, qui a publié les deux romans dIrina Teodorescu – « La malédiction du bandit moustachu » (2014, Prix André Dubreuil du premier roman et Prix Europe de l’Association des Écrivains de Langue Française) et « Les étrangères » (2015).