Jean-François Zygel, maître du piano classique et de l’improvisation
La scène musicale roumaine, en général, et bucarestoise, en particulier, vit à l’heure du Festival international George
Enescu. Inauguré en 1958, pour rendre hommage à la mémoire de la personnalité
exceptionnelle du compositeur et violoniste roumain George Enescu/Georges
Enesco, le festival a traversé des époques fastes et moins fastes, pour des
raisons diverses. Cette année, il est à sa 24-e édition, marquée par une
diversification évidente et surprenante de l’offre artistique. Au-delà des
dizaines de concerts et récitals proposés à Bucarest et dans d’autres villes de
Roumanie et de l’étranger, plus de 400 événements musicaux et même touristiques
se donnent pour objectif d’intensifier la connexion entre la capitale roumaine
et le Festival. Ce sont les projets associés, dont un s’appelle « Enescu
hors les murs ».Offert par l’Institut français de Roumanie, il est porté par le compositeur et
pianiste français Jean-François Zygel, un maître de l’improvisation, qui a répondu aux questions d’Ileana Țăroi.
Brigitta Pana, 12.09.2019, 14:00
La scène musicale roumaine, en général, et bucarestoise, en particulier, vit à l’heure du Festival international George
Enescu. Inauguré en 1958, pour rendre hommage à la mémoire de la personnalité
exceptionnelle du compositeur et violoniste roumain George Enescu/Georges
Enesco, le festival a traversé des époques fastes et moins fastes, pour des
raisons diverses. Cette année, il est à sa 24-e édition, marquée par une
diversification évidente et surprenante de l’offre artistique. Au-delà des
dizaines de concerts et récitals proposés à Bucarest et dans d’autres villes de
Roumanie et de l’étranger, plus de 400 événements musicaux et même touristiques
se donnent pour objectif d’intensifier la connexion entre la capitale roumaine
et le Festival. Ce sont les projets associés, dont un s’appelle « Enescu
hors les murs ».Offert par l’Institut français de Roumanie, il est porté par le compositeur et
pianiste français Jean-François Zygel, un maître de l’improvisation, qui a répondu aux questions d’Ileana Țăroi.