Villes roumaines durables
Sur la 16e position du récent classement mondial des meilleurs pays pour s’expatrier, nous retrouvons la Roumanie et ses villes. C’est ce qu’estiment les membres du réseau InterNations, des personnes de tous horizons et origines qui vivent et travaillent aux quatre coins de la planète. Dans le même temps, les villes transylvaines sont celles où l’on vit mieux du point de vue de la qualité de la vie, alors que Bucarest est perçu par ses habitants comme la capitale européenne la plus polluée.
Andrei Popov, 11.05.2017, 17:23
Sur la 16e position du récent classement mondial des meilleurs pays pour s’expatrier, nous retrouvons la Roumanie et ses villes. C’est ce qu’estiment les membres du réseau InterNations, des personnes de tous horizons et origines qui vivent et travaillent aux quatre coins de la planète. Dans le même temps, les villes transylvaines sont celles où l’on vit mieux du point de vue de la qualité de la vie, alors que Bucarest est perçu par ses habitants comme la capitale européenne la plus polluée.
Voilà plusieurs réalités qui se superposent quand il s’agit de parler des villes roumaines, des agglomérations urbaines qui se proposent toutes, certainement, de s’améliorer, de devenir des villes modernes et durables dans tous les sens du terme. Dépassent-elles, toutefois, la phase des bonnes intentions ? Comment s’y prennent-elles ? Quels sont la réalité sur le terrain ainsi que le point de départ de ce processus ? Provoquer à un débat cartes sur table c’est aussi l’enjeu de la conférence « Villes durables — l’expérience française » qui sera accueillie par la capitale roumaine, le 23 mai. Le point sur les chances que nous avons de vivre l’avenir comme si c’était le présent, Adriana Record, directrice exécutive de la CCIFER, l’architecte Alexandra Coltos, directrice de projet dans le cadre du Centre d’excellence en planification et Clarence Cognet, développeur d’affaires pour Bouygues Roumanie et administrateur chez CCIFER.