Ma thèse en 180 secondes
Erudition, application, recherche de pointe — voilà seulement quelques-unes des caractéristiques supposées d’une thèse de doctorat. Selon les cultures et les habitudes, on envisage de manière très diverse cette étape suprême du parcours académique. Pour certains, le doctorat est la clé d’accès à un sérail du savoir inaccessible au commun des mortels, où l’on pénètre après moult efforts. D’autres, le descendent du socle et y voient surtout les avantages financiers et symboliques qui en découlent. Enfin, d’autres le perçoivent comme une incitation à la recherche et donc à l’excellence, laborieuse certes, mais ouverte à tous et au profit de tous. Tel est l’esprit du projet « Ma thèse en 180 secondes » que lance l’Institut français de Roumanie et de l’Ambassade de France en Roumanie en ce quinze septembre. Comment faire parler un sujet de niche à un public non-averti et – pourquoi pas ? – susciter des vocations ?
Andrei Popov, 15.09.2016, 17:57
Précisions avec Alexandru Popovici, chargé de communication de l’Institut français de Bucarest, Virginia Vasile, qui prépare une thèse dans le domaine de la réfrigération, en cotutelle – l’Ecole Polytechnique de Bucarest et l’Institut national des sciences appliquées de Lyon -, et avec Mathieu Buonafine, en thèse de Physiologie et Physiopathologie à la Sorbonne.
Inscriptions du 15 septembre au 15 novembre 2016 à mt180@institutfrancais.ro