« Pelicam » à Washington
La jeune génération roumaine est dernièrement plus impliquée en matière d’environnement. Que ce soit les exploitations aurifères, le gaz de schiste, l’agriculture bio ou d’autres thématiques, les jeunes Roumains sont beaucoup moins réticents à faire valoir leurs opinions et à participer aux débats. Un festival de film environnemental, « Pelicam », ne cesse de monter depuis trois ans. Il se tient dans le Delta du Danube et il est déjà un des repères du cinéma européen spécialisé. Pelicam fait partie du réseau festivalier Green Film Network et, grâce à ce partenariat, à sa visibilité, dans quelques jours, il traverse l’Océan atlantique, en tant qu’invité du Festival du cinéma d’environnement de Washington. Pelicam sy montre le 22 mars avec le documentaire « Chevaux sauvages » du réalisateur Dan Curean, un film avec un sujet très inattendu. Explications avec Corina Moldovan-Florea, co-directrice du festival Pelicam.
Andrei Popov, 16.03.2015, 16:20
La jeune génération roumaine est dernièrement plus impliquée en matière d’environnement. Que ce soit les exploitations aurifères, le gaz de schiste, l’agriculture bio ou d’autres thématiques, les jeunes Roumains sont beaucoup moins réticents à faire valoir leurs opinions et à participer aux débats. Un festival de film environnemental, « Pelicam », ne cesse de monter depuis trois ans. Il se tient dans le Delta du Danube et il est déjà un des repères du cinéma européen spécialisé. Pelicam fait partie du réseau festivalier Green Film Network et, grâce à ce partenariat, à sa visibilité, dans quelques jours, il traverse l’Océan atlantique, en tant qu’invité du Festival du cinéma d’environnement de Washington. Pelicam sy montre le 22 mars avec le documentaire « Chevaux sauvages » du réalisateur Dan Curean, un film avec un sujet très inattendu. Explications avec Corina Moldovan-Florea, co-directrice du festival Pelicam.