« Dor de tine »
L’Institut roumain pour l’Etude de l’Holocauste « Elie Wiesel », le Mémorial français de la Shoah, le ministère roumain des Affaires étrangères et l’Institut français de Bucarest ont organisé cette semaine une « Journée de la mémoire de l’Holocauste », dans le sillage des commémorations annuelles mondiales de la Shoah. Quelle mémoire a-t-on de cette tragédie, 70 ans après Auschwitz ? Comment approcher ce génocide en contournant la langue de bois et les mêmes topos ? Une des réponses à ces questions débattues lors de cet événement est venue indirectement d’un film français inédit en Roumanie, « Dor de tine », en roumain dans le texte, une expression difficile à traduire en français, dont un équivalent approximatif pourrait être « Tu me manques beaucoup ». Débat avec sa réalisatrice, Mireille Abramovici
Andrei Popov, 28.02.2015, 14:02
L’Institut roumain pour l’Etude de l’Holocauste « Elie Wiesel », le Mémorial français de la Shoah, le ministère roumain des Affaires étrangères et l’Institut français de Bucarest ont organisé cette semaine une « Journée de la mémoire de l’Holocauste », dans le sillage des commémorations annuelles mondiales de la Shoah. Quelle mémoire a-t-on de cette tragédie, 70 ans après Auschwitz ? Comment approcher ce génocide en contournant la langue de bois et les mêmes topos ? Une des réponses à ces questions débattues lors de cet événement est venue indirectement d’un film français inédit en Roumanie, « Dor de tine », en roumain dans le texte, une expression difficile à traduire en français, dont un équivalent approximatif pourrait être « Tu me manques beaucoup ». Débat avec sa réalisatrice, Mireille Abramovici