Un « Nouveau locataire » au Théâtre Nottara de Bucarest
Des objets qui arrivent, qui saccumulent, qui sentassent, qui débordent, qui remplissent des maisons, des rues et toute une ville. Des objets en tout genre qui masquent lessentiel dune vie, lessentiel caché par des formes vides, par un passé, certes, nostalgique et confortable, mais pas moins dérisoire pour linstant présent. Tel est lenjeu du « Nouveau locataire » dEugène Ionesco qui vient de sortir devant le public au Théâtre Nottara de Bucarest. Un spectacle non-conventionnel pour plus dune raison, dont, par exemple, le fait que le protagoniste sexprime en plusieurs langues, sans pour autant parler ni comprendre le roumain…
Andrei Popov, 28.09.2014, 13:00
Des objets qui arrivent, qui saccumulent, qui sentassent, qui débordent, qui remplissent des maisons, des rues et toute une ville. Des objets en tout genre qui masquent lessentiel dune vie, lessentiel caché par des formes vides, par un passé, certes, nostalgique et confortable, mais pas moins dérisoire pour linstant présent. Tel est lenjeu du « Nouveau locataire » dEugène Ionesco qui vient de sortir devant le public au Théâtre Nottara de Bucarest. Un spectacle non-conventionnel pour plus dune raison, dont, par exemple, le fait que le protagoniste sexprime en plusieurs langues, sans pour autant parler ni comprendre le roumain…
Débat avec Gábor Tompa, metteur en scène, un des repères absolus de la profession en Roumanie, et Francisco Alfonsin, comédien et protagoniste du « Nouveau locataire »