« items – objets »
Une collection de souvenirs très personnels se déploie dans une des salles de la très intime galerie Anca Poterasu, située au n° 56, Rue des plantes, sur une des rues les plus tranquilles, les plus nostalgiques et les plus intellectuelles à la fois de la capitale roumaine, Bucarest. A l’exposition « items — objets », on entre dubitatif, on en sort profondément ému par une bribe de passé — celle de l’artiste, certes, mais surtout très personnelle pour vous, visiteur. Une sorte de madeleine proustienne qui ne se déguste qu’avec les yeux. Dialogue avec Daniel Djamo, artiste visuel, et Anca Poterasu, commissaire dexposition.
Andrei Popov, 13.03.2014, 13:34
Une collection de souvenirs très personnels se déploie dans une des salles de la très intime galerie Anca Poterasu, située au n° 56, Rue des plantes, sur une des rues les plus tranquilles, les plus nostalgiques et les plus intellectuelles à la fois de la capitale roumaine, Bucarest. A l’exposition « items — objets », on entre dubitatif, on en sort profondément ému par une bribe de passé — celle de l’artiste, certes, mais surtout très personnelle pour vous, visiteur. Une sorte de madeleine proustienne qui ne se déguste qu’avec les yeux. Dialogue avec Daniel Djamo, artiste visuel, et Anca Poterasu, commissaire dexposition.