16.03.2023 (mise à jour)
Moldavie – Le Parlement de Chisinau a adopté ce jeudi, en deuxième et dernière lecture, le projet de loi sur le remplacement de l’expression langue moldave par langue roumaine dans toutes les lois de la République de Moldavie, y compris la Constitution. Le vote a été applaudi par les députés pro-européens, tandis que leurs collègues socialistes et communistes ont affiché des pancartes avec des inscriptions faisant référence à l’expression soviétique « langue moldave ». Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest a salué la loi, soulignant qu’elle a une signification symbolique profonde, car elle rétablit la vérité scientifique concernant le nom de la langue officielle de la République de Moldavie et confirme le statut de la langue roumaine comme langue officielle. Elle reconfirme également la communauté de langue, d’histoire et de culture composée par les deux pays. L’adoption de la loi démontre également la maturité de la société en République de Moldavie et son adhésion à l’espace de valeurs sur lequel repose l’Union européenne. Grâce à cette étape, les relations bilatérales existantes entre la Roumanie et la République de Moldavie sont encore consolidées, reflétées dans une coopération ouverte et solide, orientée vers la réforme démocratique de la République de Moldavie et son intégration dans l’Union européenne, rajoute le communiqué de presse de la diplomatie de Bucarest .
Newsroom, 16.03.2023, 18:51
Moldavie – Le Parlement de Chisinau a adopté ce jeudi, en deuxième et dernière lecture, le projet de loi sur le remplacement de l’expression langue moldave par langue roumaine dans toutes les lois de la République de Moldavie, y compris la Constitution. Le vote a été applaudi par les députés pro-européens, tandis que leurs collègues socialistes et communistes ont affiché des pancartes avec des inscriptions faisant référence à l’expression soviétique « langue moldave ». Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest a salué la loi, soulignant qu’elle a une signification symbolique profonde, car elle rétablit la vérité scientifique concernant le nom de la langue officielle de la République de Moldavie et confirme le statut de la langue roumaine comme langue officielle. Elle reconfirme également la communauté de langue, d’histoire et de culture composée par les deux pays. L’adoption de la loi démontre également la maturité de la société en République de Moldavie et son adhésion à l’espace de valeurs sur lequel repose l’Union européenne. Grâce à cette étape, les relations bilatérales existantes entre la Roumanie et la République de Moldavie sont encore consolidées, reflétées dans une coopération ouverte et solide, orientée vers la réforme démocratique de la République de Moldavie et son intégration dans l’Union européenne, rajoute le communiqué de presse de la diplomatie de Bucarest .
Visa Waiver – Richard Durbin, le numéro deux de la majorité démocrate au Sénat américain et Jeanne Shaheen, la présidente de la sous-commission pour l’Europe ont avancé un projet de loi pour que la Roumanie soit incluse dans le programme d’exemption de visas, Visa Waiver, peut-on lire dans un communiqué de l’Ambassade roumaine à Washington. L’initiative fait suite à la visite que les deux sénateurs ont entreprise en février, en Roumanie. Parmi les arguments en faveur de ce projet, notons le rôle de Bucarest au sein de l’OTAN et de l’UE et le Partenariat stratégique avec les Etats-Unis. L’ambassadeur roumain aux Etats-Unis, Andrei Muraru, a apprécié cette proposition comme étant le signal législatif le plus fort que la Roumanie reçoit de la part de Washington. Le Programme d’exemption de visa permet à des ressortissants de certains pays de voyager aux États-Unis pour un voyage touristique ou d’affaires (visa visiteur) pour un séjour de 90 jours maximum sans obligation d’obtenir un visa.
la permission de faire des vérifications partielles sur le bras danubien de
Chilia, entre les kilomètres 22 et 116. Les mensurations débuteront vendredi et
elles auront lieu uniquement en journée. Le ministre roumain des Transports,
Sorin Grindeanu, a déclaré que lors des discussions précédentes avec la partie
ukrainienne, Bucarest avait demandé que les vérifications commencent à partir
du kilomètre 11. Selon le responsable roumain, dans le contexte où la Bruxelles
soutient les sollicitations formulées par la Roumanie, ce serait dans l’intérêt
des deux pays que la question des travaux de dragage menés sur les canaux de
Sulina et de Bystroe soit tirée au clair. Le Danube est une voie de transport
extrêmement importante pour l’Ukraine qui, suite à l’invasion russe de son territoire,
tente de trouver des solutions pour pouvoir exporter ses céréales. Mais
Bucarest craint l’impacte que le dragage pourrait avoir sur la région protégée
du Delta du Danube. Le ministère
ukrainien de l’Infrastructuee a déclaré que suite aux travaux d’entretien, le
canal est passé de 3,9 à 6,5 mètres de profondeur.
Francophonie – Trente ans après son adhésion à l’OIF, la Roumanie est
championne de la Francophonie et de la promotion de ses valeurs, a déclaré
jeudi le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, en ouverture de la conférence
de Bucarest. Et lui d’affirmer que la francophonie de l’avenir ne pourra se
développer que dans un contexte de paix et de stabilité. Klaus Iohannis a
rappelé que la promotion de la paix, de la démocratie et des droits de l’homme,
tout comme la protection de l’environnement et la lutte contre les changements
climatiques préoccupent tout le monde et donc, ce n’est qu’à travers une
coopération internationale et des efforts communs que l’humanité pourrait les
gérer. Présent à la conférence internationale de Bucarest, le premier ministre,
Nicolae Ciuca a déclaré que l’éducation reste essentielle pour les jeunes
francophones qui sont intéressés à avoir accès au marché de l’emploi. La secrétaire générale de la Francophonie, Louise
Mushikiwabo se trouve également à Bucarest, à l’invitation du président
roumain, Klaus Iohannis.
Timișoara -
La ville roumaine de Timișoara intègre le prestigieux classement des villes les
plus branchées dressé par le Time magazine, aux côtés de Barcelone, Washington
et Naples.« Nous sommes
fiers que notre ville figure sur cette liste restreinte et nous sommes heureux
de représenter une partie de la belle Roumanie sur la scène internationale »,
a déclaré le maire de la ville Dominic Fritz. L’article du Time présente les attractions
touristiques de Timişoara, capitale culturelle de l’Europe 20023. L’article
mentionne également qu’elle a été la première ville d’Europe continentale à
introduire l’éclairage public électrique en 1884 et le lieu où « les mèches de
la révolution ont été allumées » contre le régime communiste de Nicolae
Ceaușescu.