19.12.2020
Coronavirus en Roumanie – 5158 nouvelles infections au
virus Sars-CoV-2 ont été rapportées samedi en Roumanie sur un total de 25.800
tests pratiqués au niveau national, a informé le Groupe de communication
stratégique. En outre, 139 personnes atteintes de Covid-19 ont succombé des
suites de la maladie, portant le bilan total des décès à 14.296. 1.274
personnes sont en soins intensifs. Depuis le début de la pandémie, la Roumanie
a recensé presque 588 milles cas d’infection au nouveau coronavirus, dont plus
de 493 mille ont été déclarés guéris. Les restrictions imposées pour prévenir
la propagation du nouveau coronavirus restent en place pendant les fêtes de fin
d’année, a déclaré vendredi le président Klaus Iohannis. Et lui d’ajouter qu’en
attendant que suffisamment de personnes se fassent vacciner, les Roumains
doivent respecter toutes les
restrictions sanitaires.
Newsroom, 19.12.2020, 13:05
Coronavirus en Roumanie – 5158 nouvelles infections au
virus Sars-CoV-2 ont été rapportées samedi en Roumanie sur un total de 25.800
tests pratiqués au niveau national, a informé le Groupe de communication
stratégique. En outre, 139 personnes atteintes de Covid-19 ont succombé des
suites de la maladie, portant le bilan total des décès à 14.296. 1.274
personnes sont en soins intensifs. Depuis le début de la pandémie, la Roumanie
a recensé presque 588 milles cas d’infection au nouveau coronavirus, dont plus
de 493 mille ont été déclarés guéris. Les restrictions imposées pour prévenir
la propagation du nouveau coronavirus restent en place pendant les fêtes de fin
d’année, a déclaré vendredi le président Klaus Iohannis. Et lui d’ajouter qu’en
attendant que suffisamment de personnes se fassent vacciner, les Roumains
doivent respecter toutes les
restrictions sanitaires.
Négociations – Les 466 députés et sénateurs roumains élus suite au scrutin législatif du 6 décembre accomplissent depuis samedi les formalités censées leur permettre d’assumer leurs mandats et de constituer le Parlement. Le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, a convoqué le nouveau Législatif le lundi, 21 décembre. Parallèlement, les représentants de la future coalition majoritaire au Parlement ont repris samedi leurs négociations visant le programme commun de gouvernance, après l’accord de vendredi soir au terme duquel ils ont partagé les principales fonctions publiques. Concrètement, le PNL, l’USR-PLUS et l’UDMR ont décidé d’attribuer aux libéraux la présidence de la Chambre des députés et à l’Alliance USR-PLUS celle du Sénat. Le chef du PNL, Ludovic Orban, a annoncé le nom du futur premier ministre, à savoir l’actuel ministre libéral des Finances, Florin Cîţu. Dans le futur cabinet, le PNL devrait détenir neuf portefeuilles, l’USR – PLUS six et l’UDMR trois. Il y aura également deux postes de vice-premier ministre. De l’autre côté de la barricade, les sociaux-démocrates, qui ont remporté le plus grand nombre de suffrages au scrutin législatif du 6 décembre, insistent sur le fait que, dans le contexte de la pandémie, la solution correcte serait de former un gouvernement d’union nationale, dirigé par le médecin Alexandru Rafila, qui a accédé au nouveau Parlement sur les listes du PSD. Le leader social- démocrate, Marcel Ciolacu, a déclaré que son parti ne voterait jamais en faveur d’un gouvernement PNL- USR- PLUS – UDMR qui, dit-il, maintient la Roumanie dans un état de crise.
Numérisation – Le Ministère roumain de l’Education nationale et de la Recherche a soumis au débat public d’ici le 15 février, la Stratégie de numérisation de l’Education roumaine, SMART-EDU. Plus de 1200 experts, organisations civiles et sociétés numériques y ont contribué. La dite stratégie se donne pour objectifs d’embarquer au moins 90% de la population roumaine dans le train de la numérisation d’ici 2027, de former aux métiers émergents 80% des personnes âgées de 20 à 34 ans, en vue de leur insertion sur le marché du travail et de doter tous les établissements scolaires de Roumanie de l’infrastructure et des ressources technologiques adaptées aux changements permanents.
Commémoration – 31 ans après la révolution de décembre 1989, la ville de Timişoara (ouest) continue de commémorer ses héros, mais ce dans des conditions de pandémie. Une journée de deuil a été observée jeudi à Timişoara où, le 17 décembre 1989, le dictateur Nicolae Ceauşescu donnait l’ordre que des munitions létales soient utilisées contre ceux qui contestaient, dans les rues, le régime communiste qu’il dirigeait. Le 19 décembre 1989, afin d’effacer les traces du massacre, les autorités communistes mettaient en place l’opération dite « La Rose » pendant laquelle les cadavres des personnes assassinées étaient dérobés de la morgue de Timisoara et transportés à Bucarest pour être incinérés. Depuis, une délégation des familles endeuillées et des héritiers des héros locaux organisent chaque année un pèlerinage sur Bucarest. Les protestations dans cette ville, où une centaine de personnes sont mortes et environ 350 autres ont été blessées, ont été l’étincelle qui a mené, quelques jours plus tard, à la chute du dictateur, suite à la révolution la plus sanglante de l’Europe du sud-est.
Météo – Le temps demeure généralement couvert. Des pluies faibles, ainsi que du brouillard et de la bruine touchent les régions de plaine. Les températures maximales sont comprises entre 2° et 9°, avec 3° à midi, dans la capitale, Bucarest.