15.10.2019 (mise à jour)
Gouvernement – Après des consultations avec la plupart des partis parlementaires, le président roumain, Klaus Iohannis a désigné au poste de premier ministre le chef du Parti national libéral (PNL), Ludovic Orban, lui demandant de former un nouveau gouvernement qu’il présente par la uite au Parlement pour approbation. De l’avis de Klaus Iohanis, le PNL est le plus grand parti de l’opposition et initiateur de la motion de censure qui a fait chuter le cabinet social-démocrate de Viorica Dancila. Selon le chef de l’Etat, le futur cabinet devra gérer la bonne organisation des élections présidentielles de novembre, trancher sur le budget 2019 et élaborer le budget pour 2020. A son tour, le premier ministre désigné, Ludovic Orban, promet que sa future équipe se distinguera par son honnêteté, sa compétence et son intégrité et qu’elle aura des solutions pour les grands problèmes auxquels est confrontée la Roumanie. Rétablir les équilibres macro-économiques du pays, procéder à une ample restructuration de l’appareil gouvernemental, investir dans l’infrastructure des transports, dans la santé et l’éducation, garantir l’indépendance réelle de la justice et renforcer le parcours européen de la Roumanie – autant de priorités énoncées par le nouveau premier ministre libéral Ludovic Orban. De son côté, l’Union sauvez la Roumanie (USR), qui est favorable aux élections parlementaires anticipées, a réitéré son intention de valider le futur cabinet minoritaire de transition uniquement s’il remplit les conditions qu’elle lui demande, dont l’introduction d’un deuxième tour de scrutin aux élections municipales. En même temps le tout
jeune parti Pro Romania affirme qu’il votera uniquement ce qu’il jugera bon
pour le pays. Le PSD, dont le cabinet s’est vu destituer la semaine dernière par motion de censure, a refusé de participer aux consultations avec le chef de l’Etat. Par la voix de son leader et ancienne première ministre, Viorica Dancila, le PSD a fait savoir qu’il ne voterait pas le futur gouvernement. D’ailleurs, de l’avis du président de la Chambre des députés, le social-démocrate Marcel Ciolacu, c’est aux partis qui ont voté la motion de censure contre le cabinet Dancila d’assurer le quorum à l’investiture du nouveau cabinet.
Newsroom, 15.10.2019, 19:11
Gouvernement – Après des consultations avec la plupart des partis parlementaires, le président roumain, Klaus Iohannis a désigné au poste de premier ministre le chef du Parti national libéral (PNL), Ludovic Orban, lui demandant de former un nouveau gouvernement qu’il présente par la uite au Parlement pour approbation. De l’avis de Klaus Iohanis, le PNL est le plus grand parti de l’opposition et initiateur de la motion de censure qui a fait chuter le cabinet social-démocrate de Viorica Dancila. Selon le chef de l’Etat, le futur cabinet devra gérer la bonne organisation des élections présidentielles de novembre, trancher sur le budget 2019 et élaborer le budget pour 2020. A son tour, le premier ministre désigné, Ludovic Orban, promet que sa future équipe se distinguera par son honnêteté, sa compétence et son intégrité et qu’elle aura des solutions pour les grands problèmes auxquels est confrontée la Roumanie. Rétablir les équilibres macro-économiques du pays, procéder à une ample restructuration de l’appareil gouvernemental, investir dans l’infrastructure des transports, dans la santé et l’éducation, garantir l’indépendance réelle de la justice et renforcer le parcours européen de la Roumanie – autant de priorités énoncées par le nouveau premier ministre libéral Ludovic Orban. De son côté, l’Union sauvez la Roumanie (USR), qui est favorable aux élections parlementaires anticipées, a réitéré son intention de valider le futur cabinet minoritaire de transition uniquement s’il remplit les conditions qu’elle lui demande, dont l’introduction d’un deuxième tour de scrutin aux élections municipales. En même temps le tout
jeune parti Pro Romania affirme qu’il votera uniquement ce qu’il jugera bon
pour le pays. Le PSD, dont le cabinet s’est vu destituer la semaine dernière par motion de censure, a refusé de participer aux consultations avec le chef de l’Etat. Par la voix de son leader et ancienne première ministre, Viorica Dancila, le PSD a fait savoir qu’il ne voterait pas le futur gouvernement. D’ailleurs, de l’avis du président de la Chambre des députés, le social-démocrate Marcel Ciolacu, c’est aux partis qui ont voté la motion de censure contre le cabinet Dancila d’assurer le quorum à l’investiture du nouveau cabinet.
Promenade Marie de Roumanie – A
Paris, une partie du Quai Branly, à proximité de la Tour Eiffel, porte à
compter de ce mardi le nom de « Promenade Marie de Roumanie ».
L’inauguration a été réalisée par la princesse Margarita, dépositaire de la
Couronne de Roumanie. Lors du discours prononcé à cette occasion, la princesse
Margarita a évoqué la personnalité de son arrière-grand-mère, rappelant que la
Reine Marie était pour tous les Européens un exemple précieux de patriotisme,
de force et de professionnalisme, de haute compétence et de loyauté. L’événement
a été organisé à l’initiative de l’Ambassade de Roumanie à Paris et soutenu par
le Groupe d’amitié France – Roumanie de l’Assemblée nationale et la Mairie de
Paris.
FMI – Le Fonds Monétaire International (FMI) a révisé à la hausse ses estimations pour l’évolution de l’économie roumaine cette année. En même temps, l’institution prévoit une croissance du taux d’inflation et du déficit de compte courant, lit-on dans un nouveau rapport World Economic Outlook, publié ce mardi. Si en avril dernier, le FMI estimait que la Roumanie allait connaître une croissance économique de 3,1% cette année, suivie par une avancée de 3% en 2020, cette fois-ci, il table sur une croissance économique de 4% en 2019 et de 3,5% en 2020. Ces nouveaux pronostics du FMI sont comparables à ceux de la Banque Mondiale, qui, la semaine dernière, a révisé elle aussi à la hausse ses estimations de croissance économique pour la Roumanie, soit à 4,2% en 2019. Pour les 2 années à suivre la Banque mondiale table sur un progrès de 3,6 et respectivement de 3,2%. A son avis, le PIB de la Roumanie progressera aussi de 3,6%, alors que les prévisions précédentes parlaient de 3,2%.
Défense – Les représentants des ministères de la défense de l’Europe du sud-est se réunissent mercredi à Bucarest. Selon un communiqué du ministère roumain de la défense, ce sera l’occasion pour Bucarest de reconfirmer son engagement de participer aux projets déroulés au sein de cette initiative qui devrait devenir la principale formule de coopération militaire en Europe du Sud-est. Cette plate-forme facilite le dialogue politique et militaire et la participation à des projets pratiques du domaine de la sécurité et de la stabilité régionale.
Prix – Un moniteur des prix des denrées alimentaires a été lancé mardi en Roumanie. Il s’agit d’une plate-forme censée aider les Roumains à comparer les prix affichés par certains supermarchés à travers le pays. Le public aura la possibilité de choisir parmi quelque 30 mille produits, soit la moitié des produits alimentaires commercialisés actuellement. Ce projet est similaire à celui qui compare le prix des carburants, lancé en juin dernier. Cette plate-forme est aussi à retrouver en tant qu’application mobile et en ligne sur le site : monitorulpreţurilor.info
Météo – Dans les 24
prochaines heures, les météorologues annoncent du brouillard et un ciel couvert
notamment sur l’est et le sud-est de la Roumanie. Sur le reste du territoire
nous aurons toujours du beau temps avec des maxima qui iront de 18 à 28 degrés.