31.10.2017 (mise à jour)
Radio — La Société roumaine de radiodiffusion fête, mercredi, ses 89 années d’existence, son premier signal étant diffusé le 1er novembre 1928. Moyen d’information, d’éducation et de divertissement, la Radio publique s’adresse à l’ensemble de la société, à toutes les générations, à tous les goûts. En Roumanie, les studios régionaux et locaux, les chaînes en ligne pour les enfants et la jeunesse s’ajoutent au chaîne nationales : Actualités, Culture, Musique et l’Antenne des villages. Radio Roumanie a commencé à avoir des émissions destinées à l’étranger dès les années ’30. Actuellement, RRI a des émissions en 11 langues étrangères, en roumain et dans le dialecte aroumain.
Newsroom, 31.10.2017, 18:50
Radio — La Société roumaine de radiodiffusion fête, mercredi, ses 89 années d’existence, son premier signal étant diffusé le 1er novembre 1928. Moyen d’information, d’éducation et de divertissement, la Radio publique s’adresse à l’ensemble de la société, à toutes les générations, à tous les goûts. En Roumanie, les studios régionaux et locaux, les chaînes en ligne pour les enfants et la jeunesse s’ajoutent au chaîne nationales : Actualités, Culture, Musique et l’Antenne des villages. Radio Roumanie a commencé à avoir des émissions destinées à l’étranger dès les années ’30. Actuellement, RRI a des émissions en 11 langues étrangères, en roumain et dans le dialecte aroumain.
Conférence — Plus de 600 personnes seront présentes, mercredi et jeudi, à Bucarest, à la Conférence des femmes de la Francophonie, placée sous le slogan « Création, innovation, entrepreneuriat, croissance économique et développement: les femmes s’imposent! » Des officiels de 48 pays francophones discuteront des droits et de l’accès des femmes au marché de l’emploi ou de leur contribution à l’innovation et à l’entrepreneuriat. La réunion se propose de constituer, en première, un réseau francophone des femmes entrepreneurs. Les conclusions de la conférence de Bucarest contribueront à adopter une Stratégie de la Francophone pour l’égalité entre femmes et hommes, document qui sera discuté au futur Sommet de la Francophonie, en 2018.
Festival – L’Organisation internationale de la Francophonie, en partenariat avec l’Institut culturel roumain, présente, du 31 octobre au 2 novembre, le Festival du film francophone. L’événement a lieu à l’occasion de la Conférence internationale des femmes de la Francophonie, accueillie par la capitale roumaine, les mercredi 1er et jeudi 2 novembre. L’ouverture officielle du festival est prévue mercredi à 19h, au siège de l’Institut culturel roumain, en présence de la secrétaire générale de l’OIF, Michaëlle Jean, de la directrice du Bureau régional de l’organisation, Rennie Yotova et de la présidente de l’Institut culturel roumain, Liliana Turoiu. A cette occasion, sera présenté le projet « Femmes » du photographe français Yann Arthus-Bertrand, qui comporte des portraits de femmes réalisés dans 60 pays à travers le monde.
Motion — L’opposition de droite de Roumanie a déposé ce mardi au Sénat une motion simple contre le ministre des Finances, Ionuţ Mişa. Le document pointe du doigt les mesures fiscales annoncées par le gouvernement, affirmant qu’elles auront des effets négatifs sur l’économie roumaine et sur toutes les catégories sociales. Il s’agit du transfert des charges sociales de l’employeur à l’employé et la contribution supplémentaire assurance — emploi à la charge de l’employeur. Selon le chef des libéraux, Ludovic Orban, cette contribution entraînerait une hausse de la fiscalité.
Par ailleurs, les sénateurs de Bucarest ont adopté mardi le projet législatif relatif à l’approbation de l’ordonnance d’urgence portant paiement fractionné de la TVA. Le plénum du Sénat a donné son avis au rapport de la Commission spécialisée qui a modifié l’ordonnance, en ce sens que la mesure en question ne sera appliquée que pour les entreprises en situation d’insolvabilité, en faillite ou encore pour celles qui ont des dettes. L’acte réglementaire devrait être soumis à la Chambre des députés, qui est l’assemblée décisionnelle.
Numérisation — L’avenir de l’Europe sera numérique ou ne sera pas, et dans ce contexte, la Roumanie gagne grâce au dynamisme et à son réseau de start-ups, a déclaré, mardi, à Bucarest, Mariya Gabriel, commissaire européenne chargée du numérique. Elle a participé ce mardi au Forum Digital Romania International – Startups in 4.0 Industries. Il réunit leaders de l’industrie, entrepreneurs et investisseurs, décideurs européens, autorités et représentants du milieu académique, afin de trouver des solutions pour que la Roumanie contribue et profite, au niveau européen, de la transformation numérique des industries, de l’économie et de la société. Selon une analyse du cabinet d’audit PricewaterhouseCoopers, la Roumanie a un très grand potentiel de développement dans le domaine des TIC, mais, pour le moment, elle se classe dernière dans l’Union européenne pour le niveau de numérisation.
Education — Des experts de la Commission de Venise se trouvent à Kiev afin d’examiner la situation créée par l’adoption de la nouvelle loi ukrainienne de l’Education. Une délégation de la communauté roumaine vivant dans la région de Cernauti sera elle aussi présente à la rencontre avec les représentants des minorités nationales d’Ukraine, mercredi. Selon ces derniers, la loi mentionnée limite de manière drastique le droit à l’enseignement en langue maternelle. Les représentants de la communauté roumaine d’Ukraine, forte de 500.000 personnes, ont récemment adressé une lettre à la Commission de Venise, demandant que la nouvelle loi ukrainienne de l’Education soit examinée pour voir si elle est conforme avec les engagements pris par Kiev devant le Conseil de l’Europe concernant la garantie du droit des minorités nationales et linguistiques à l’enseignement en langue maternelle. Bucarest a critiqué à maintes reprises l’adoption de ladite loi.