08.05.2015
Newsroom, 08.05.2015, 15:05
écoulés depuis la fin de Seconde guerre mondiale. Le président roumain Klaus
Iohannis a également participé à cet événement. Aux côtés du président polonais
Bronisław Komorowski, du
secrétaire général de l’ONU – Ban Ki-moon, du président du Conseil de l’Europe
– Donald Tusk et d’autres leaders politiques, le chef de l’Etat roumain a
également participé à une cérémonie dans la ville de Gdańsk, l’endroit où la seconde
guerre mondiale a débuté, le 1er septembre 1939. Par ailleurs, la
Roumanie célèbre à partir d’aujourd’hui la Fête de l’Europe. A Bucarest, 16
stations de métro ont été redécorées pour représenter des pays européens. Une
cinquantaine de films seront projetées dans le cadre du Festival du Film
européen et 160 ONGs, institutions et entreprises se réunissent à l’occasion de
la Foire ONG Fest. Les évènements sont organisés en coopération avec la
représentation de la Commission européenne en Roumanie.
affirment être des citoyens européens, 65% pensent que l’adhésion du pays à
l’UE a été bénéfique alors que 23% affirment le contraire, selon un baromètre
de l’opinion publique réalisé par INSCOP. La majorité des Roumains sont
d’accord avec la création d’une armée de l’UE et avec l’adhésion à l’euro. L’UE
est associée surtout à la liberté de la circulation, à la démocratie et aux
droits de l’homme, ainsi qu’à la paix avec les pays voisins, selon le sondage.
La vaste majorité des Roumains, soit 80%, soutiennent l’adhésion de la
République de Moldova, à l’UE.
Pakistan, ont été tuées vendredi dans le crash d’un hélicoptère transportant
des diplomates européens et asiatiques sur une école d’une région reculée de
l’Himalaya pakistanais, a indiqué l’armée. Les épouses des ambassadeurs de
Malaisie et d’Indonésie, ainsi que les deux pilotes de l’hélicoptère MI-17, ont
aussi perdu la vie dans l’accident. L’ambassadeur roumain à Islamabad se
trouvait également dans cet hélicoptère, mais il est hors de danger à l’heure
actuelle, a annonce le ministère roumain des Affaires Etrangères.
l’OTAN a déclaré vendredi le vice-premier ministre roumain Gabriel Oprea qui est également ministre de
l’intérieur après un entretien à Bucarest avec le ministre turc de l’Intérieur
Sebahattin Ozturk. M Oprea a affirmé que la Roumanie et la Turquie s’avoisinent avec deux sources majeures de crises,
qui ont un impact sur la sécurité régionale et globale : le bassin de la
Mer Noire et le Proche Orient élargi. En tant que membre de l’OTAN, la Turquie est
un partenaire privilégié de la Roumanie dans la région et les relations entre
les deux pays sont basées sur la confiance réciproque et la solidarité, a
également ajouté Gabriel Oprea.
– Le président du Conseil départemental de Iasi, dans le nord-est de la
Roumanie, le libéral Cristian Adomnitei sera présenté aujourd’hui au tribunal
qui doit décider de le placer en détention provisoire pour une période de 30
jours. Les procureurs de la Direction nationale anti-corruption ont arrêté
Cristian Adomnitei et trois autres personnes ce jeudi, dans un dossier
concernant une attribution de contrat promotionnel du département de Iasi.
Aujourd’hui également, la Cour d’Appel Bucarest décidera si le maire social
démocrate de la ville de Iasi, Gheorghe Nichita, poursuivi sous contrôle
judiciaire, sera arrêté ou pas. Il est soupçonné d’abus de fonction et
d’utilisation illégale de données personnelles.
responsables hongrois d’appliquer un mandat d’arrêt européen émis au nom de
l’ex-député de l’Union démocratique des Magyars de Roumanie, Markó Attila, accusé
dans une affaire de corruption, qui se trouverait sur le territoire de la
Hongrie voisine. Le sujet a été évoqué par le ministre roumain des Affaires
Etrangères, Bogdan Aurescu, durant les pourparlers d’hier à Budapest avec son
homologue hongrois, Péter Szijjártó. Le
responsable roumain a souligné qu’il ne s’agissait que d’un simple dossier
pénal, sans connotation politique ou d’autre nature. L’ex député Marko Attila
Gabor est poursuivi suite à une décision de la Haute Cour de Cassation et de
Justice de Roumanie. Il a été placé en détention provisoire par contumace pour
une période 30 jours dans un dossier visant des restitutions illégales.