11.03.2015 (mise à jour)
Diplomatie — La relation avec la Pologne est une priorité pour la Roumanie, tant sur le plan européen, qu’au niveau transatlantique. Le partenariat stratégique en vigueur en témoigne. De plus, les deux pays sont liés par une histoire commune de coopération et de solidarité dans les moments cruciaux. C’est ce qu’a déclaré mercredi, le président roumain Klaus Iohannis avant d’entamer sa visite officielle à Varsovie. Selon le chef de l’Etat roumain, à l’agenda des pourparlers figureront des sujets liés à l’évolution des relations bilatérales, économiques, politiques et militaires. Le président roumain doit s’entretenir avec son homologue polonais, le chef du Seim polonais, le chef du Sénat de Varsovie et avec la première ministre polonaise.
Newsroom, 11.03.2015, 19:51
Diplomatie — La relation avec la Pologne est une priorité pour la Roumanie, tant sur le plan européen, qu’au niveau transatlantique. Le partenariat stratégique en vigueur en témoigne. De plus, les deux pays sont liés par une histoire commune de coopération et de solidarité dans les moments cruciaux. C’est ce qu’a déclaré mercredi, le président roumain Klaus Iohannis avant d’entamer sa visite officielle à Varsovie. Selon le chef de l’Etat roumain, à l’agenda des pourparlers figureront des sujets liés à l’évolution des relations bilatérales, économiques, politiques et militaires. Le président roumain doit s’entretenir avec son homologue polonais, le chef du Seim polonais, le chef du Sénat de Varsovie et avec la première ministre polonaise.
Commissaire européenne — Au cours du 2e jour de sa visite en Roumanie, la Commissaire européenne à la Politique régionale, Corina Cretu, a été reçue mercredi par le président Klaus Iohannis. Elle doit également s’entretenir avec le ministre roumain des Fonds européens Eugen Teodorovici. Jeudi, Corina Cretu participera à la conférence consacrée aux Opportunités de financement pour les PME 2014 — 2020 et au lancement officiel du Programme opérationnel « La capacité administrative 2014-2020 ». Mardi, la responsable européenne a discuté avec le ministre roumain des Transports, Ioan Rus, de la stratégie intégrée des Transports roumains considéré par Bruxelles comme un chapitre stratégique. Aux dires de Corina Cretu, la Commission européenne versera d’ici 2020 6,8 millions d’euros pour des projets d’infrastructure dans le cadre de cette Stratégie nationale intégrée.
Code fiscal — Le Sénat de Bucarest a adopté mercredi une proposition de loi visant à compléter le Code Fiscal, qui exempte du paiement des contributions assurance maladie les personnes touchant des revenus en louant des biens agricoles et qui possèdent un terrain agricole ne dépassant pas 2 hectares. C’est maintenant à la Chambre des Députés d’en débattre avant de prendre la décision finale.
Monnaie virtuelle — La Banque Nationale de Roumanie met en garde contre les risques de l’utilisation de la monnaie virtuelle bitcoin. Selon le communiqué de la Banque, bitcoin n’est ni monnaie nationale ni devise. La loi n’impose pas l’acceptation des paiements en cette monnaie virtuelle. En l’absence d’une réglementation en ce sens et d’une surveillance, les risques de son utilisation sont liés au blanchiment d’argent, au financement du terrorisme et à la volatilité des prix. La Banque Nationale de Roumanie surveille l’évolution de la monnaie virtuelle du point de vue de ses effets sur le système financier roumain, lit-on encore dans le communiqué.
Fonds européens – La Chambre des députés a rejeté mercredi la motion simple avancée par l’opposition libérale au sujet des fonds européens. Les signataires du document demandaient, entre autres, au ministre Eugen Teodorovici d’expliquer devant le Parlement le faible taux d’absorption. Les initiateurs de la motion estiment aussi que dans l’exercice budgétaire actuel, la Roumanie ne fait que répéter les mêmes erreurs que dans le précédent et qui l’ont située en queue du peloton européen.
Enquête — La Chambre des Députés de Bucarest a rejeté mercredi la demande d’entamer des poursuites pénales à l’encontre du député de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie Laszlo Borbey, formulée le mois dernier par les procureurs anti-corruption. Ancien ministre de l’Environnement et des Forêts, Laszlo Borbey était visé par 3 chefs de trafic d’influence.