25.08.2014 (mise à jour)
Solidarité – La Roumanie est solidaire avec les décisions prises au niveau de l’UE et du partenariat transatlantique en ce qui concerne la crise en Ukraine ; elle soutient parfaitement et inconditionnellement la souveraineté et l’intégrité territoriale de cette ancienne république soviétique. C’est ce qu’a déclaré ce lundi le premier ministre roumain Victor Ponta. Selon lui, Bucarest rejoint la communauté internationale et soutient les sanctions adoptée contre Moscou, demandant que l’intervention de la Russie du côté des séparatistes de l’est de l’Ukraine cesse, pour que ce pays puisse décider librement son futur parcours démocratique et européen. Sur place, les combats entre l’armée ukrainienne et les rebelles se poursuivent. Kiev a accusé lundi, Moscou de vouloir ouvrir un nouveau front de combats dans le sud-est de l’Ukraine après qu’une colonne de blindés eut franchi la frontière depuis la Russie et se fut engagée dans des combats contre les troupes gouvernementales. Par ailleurs, la Russie a fait part de son intention d’envoyer un nouveau convoi humanitaire en Ukraine. L’annonce survient suite après que l’Occident et Kiev ont durement critiqué Moscou pour l’envoi d’un premier convoi humanitaire, la semaine dernière, en l’absence de l’autorisation des responsables ukrainiens et sans escorte de la Croix Rouge.
România Internațional, 25.08.2014, 20:16
Solidarité – La Roumanie est solidaire avec les décisions prises au niveau de l’UE et du partenariat transatlantique en ce qui concerne la crise en Ukraine ; elle soutient parfaitement et inconditionnellement la souveraineté et l’intégrité territoriale de cette ancienne république soviétique. C’est ce qu’a déclaré ce lundi le premier ministre roumain Victor Ponta. Selon lui, Bucarest rejoint la communauté internationale et soutient les sanctions adoptée contre Moscou, demandant que l’intervention de la Russie du côté des séparatistes de l’est de l’Ukraine cesse, pour que ce pays puisse décider librement son futur parcours démocratique et européen. Sur place, les combats entre l’armée ukrainienne et les rebelles se poursuivent. Kiev a accusé lundi, Moscou de vouloir ouvrir un nouveau front de combats dans le sud-est de l’Ukraine après qu’une colonne de blindés eut franchi la frontière depuis la Russie et se fut engagée dans des combats contre les troupes gouvernementales. Par ailleurs, la Russie a fait part de son intention d’envoyer un nouveau convoi humanitaire en Ukraine. L’annonce survient suite après que l’Occident et Kiev ont durement critiqué Moscou pour l’envoi d’un premier convoi humanitaire, la semaine dernière, en l’absence de l’autorisation des responsables ukrainiens et sans escorte de la Croix Rouge.
Sécurité sociale — Le Sénat de Bucarest, réuni en session extraordinaire, a rejeté lundi la demande de réexamen du chef de l’Etat concernant la loi portant réduction de 5% des contributions à la sécurité sociale payées par l’employeur, à partir du 1er octobre. Elle sera également débattue par la Chambre des députés. La loi a été renvoyée au Parlement par le président Traian Băsescu, parce que les sources qui serviraient à couvrir le manque à gagner au budget de l’Etat n’étaient pas indiquées. Si le Parlement vote de nouveau la loi sous la forme rejetée par le chef de l’Etat, ce dernier ne peut plus la rejeter, mais il peut saisir la Cour constitutionnelle.
Justice – George Copos, un des hommes d’affaires les plus connus de Roumanie et ancien vice premier ministre, a été condamné définitivement ce lundi par le Tribunal de Bucarest à 4 années de prison ferme dans un dossier d’évasion fiscale. Les juges ont maintenu la décision prononcée en première instance, en janvier 2013. Ministre du cabinet dirigé par le libéral Calin Popescu Tariceanu, il y a une dizaine d’années, George Copos a causé un préjudice à l’Etat de plus d’un million d’euros, par des transactions réalisées avec la Compagnie Nationale de la Loterie Roumaine. Il est détenu depuis mars dernier, lorsqu’il avait été condamné à 3 ans et 8 mois de réclusion, en tant que patron de l’équipe de football Rapid Bucarest, dans une affaire retentissante de transferts illégaux de joueurs, impliquant plusieurs patrons de clubs, financeurs et imprésarios.