23.01.2014
Justice – Selon le rapport de la Commission européenne relatif à l’évolution de la justice en Roumanie, des pas importants ont été réalisés à Bucarest, mais les résultats positifs enregistrés dans un certain domaine risquent d’être annulés par les reculs constatés dans d’autres. C’est ce qu’a déclaré le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso. Le document recommande d’inclure des dispositions claires au sujet du respect du système judiciaire dans le code de conduite des élus nationaux. Bruxelles recommande également à Bucarest de mettre à profit l’opportunité créée par une possible révision constitutionnelle pour réexaminer les articles portant sur la séparation des pouvoirs.
România Internațional, 23.01.2014, 16:47
Justice – Selon le rapport de la Commission européenne relatif à l’évolution de la justice en Roumanie, des pas importants ont été réalisés à Bucarest, mais les résultats positifs enregistrés dans un certain domaine risquent d’être annulés par les reculs constatés dans d’autres. C’est ce qu’a déclaré le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso. Le document recommande d’inclure des dispositions claires au sujet du respect du système judiciaire dans le code de conduite des élus nationaux. Bruxelles recommande également à Bucarest de mettre à profit l’opportunité créée par une possible révision constitutionnelle pour réexaminer les articles portant sur la séparation des pouvoirs.
Crash – Le procureur général de Roumanie Tiberiu Nitu a déclaré qu’il envisageait de démarrer une enquête sur la manière dont les autorités ont agi dans le cas du crash d’un avion de petites dimensions qui a eu lieu lundi dans le massif des Apuseni, dans l’ouest de la Roumanie. Il a affirmé que l’enquête déjà en cours visait uniquement les circonstances de l’accident aéronautique qui a fait deux morts et cinq blessés. Accusés d’être intervenus tardivement, les responsables de plusieurs institutions de l’Etat ont déjà démissionné.
FMI – Le cabinet de Bucarest ne souhaite pas majorer les taxes et impôts cette année, au contraire il envisage de les réduire, c’est ce qu’a déclaré le ministre roumain en charge du budget Liviu Voinea. Celui-ci doit rencontrer aujourd’hui la délégation du FMI, de la Commission européenne et de la Banque Mondiale qui se trouve à Bucarest pour faire une nouvelle évaluation de l’accord de précaution signé l’année dernière. De l’avis de Liviu Voinea, à l’avenir, le cabinet de Bucarest adoptera une série de mesures censées stimuler la demande intérieure et par conséquent le milieu des affaires, fortement touché par la crise économique, et créer de nouveaux emplois. Les deux prochaines semaines, la délégation analysera les plus récentes évolutions économiques, mais aussi la situation des compagnies d’Etat. La privatisation échouée des usines chimiques Oltchim, de la compagnie de fret ferroviaire CFR Marfa et de la Poste roumaine compte parmi les pas en arrière faits dans le programme de réformes structurelles.
Agriculture – Le développement de l’agriculture n’est pas un problème local ou régional, c’est un problème global — a déclaré aujourd’hui à Chişinău le commissaire européen à l’agriculture, Dacian Cioloş. La PAC est un des fondements de la construction européenne et cette expérience peut être mise à profit par les Etats voisins aussi — a ajouté le commissaire. Le responsable européen participe en République de Moldova à la première conférence des ministres de l’agriculture des pays du Partenariat Oriental et de l’UE. Le ministre roumain Daniel Constantin est présent à cette réunion.
Union – Les manifestations consacrés aux 155 ans écoulés depuis l’Union des principautés roumaines de Moldavie et de Valachie ont déjà commencé à travers le pays. Le 24 janvier 1859, Alexandru Ioan Cuza, élu à l’unanimité prince de Moldavie a été voté, à l’unanimité aussi par l’Assemblée élective de Bucarest comme prince régnant de Valachie. Il a été proclamé ainsi prince régnant des principautés unies. Le règne de Cuza (1859 — 1866) a été marqué par des réformes radicales qui allaient constituer les bases institutionnelles de la Roumanie moderne. En 1918, la création de l’Etat national roumain s’est achevée par l’Union avec la Roumanie des provinces historiques à majorité roumaine, ayant fait partie des empires multinationaux voisins.