Ville durable et pandémie
Un petit organisme invisible a complètement
chamboulé la vie de notre planète. En fait, c’est la société humaine telle que
nous la connaissons aujourd’hui que le minuscule nouveau coronavirus SARS-CoV-2
a bouleversée, révélant la fragilité d’un système basé sur des villes en
expansion continue. Sur tous les continents, à l’exception de l’Antarctique,
les villes et leurs habitants ont dû mettre leur existence entre parenthèses.
Cette nouvelle réalité et surtout l’avenir qu’elle pourrait amorcer ont fait
l’objet d’un débat franco-roumain en ligne, organisé par l’Ambassade de France
et l’Institut Français en Roumanie, dans le cadre de leur label « Orase Durabile/Villes durables ».
Parmi les invités au wébinaire Passé,
présent et avenir : comment faire la ville avec le virus ? Perspectives franco-roumaines, qui a eu
lieu le 27 mai, le géographe Michel Lussault, professeur à l’ENS Lyon, et
Bogdan Suditu, maître de conférences à l’Université de Bucarest, ont répondu,
par la suite, aux questions d’Ileana Ţăroi.
Brigitta Pana, 04.06.2020, 17:55
Un petit organisme invisible a complètement
chamboulé la vie de notre planète. En fait, c’est la société humaine telle que
nous la connaissons aujourd’hui que le minuscule nouveau coronavirus SARS-CoV-2
a bouleversée, révélant la fragilité d’un système basé sur des villes en
expansion continue. Sur tous les continents, à l’exception de l’Antarctique,
les villes et leurs habitants ont dû mettre leur existence entre parenthèses.
Cette nouvelle réalité et surtout l’avenir qu’elle pourrait amorcer ont fait
l’objet d’un débat franco-roumain en ligne, organisé par l’Ambassade de France
et l’Institut Français en Roumanie, dans le cadre de leur label « Orase Durabile/Villes durables ».
Parmi les invités au wébinaire Passé,
présent et avenir : comment faire la ville avec le virus ? Perspectives franco-roumaines, qui a eu
lieu le 27 mai, le géographe Michel Lussault, professeur à l’ENS Lyon, et
Bogdan Suditu, maître de conférences à l’Université de Bucarest, ont répondu,
par la suite, aux questions d’Ileana Ţăroi.