Spotlight – Le Festival international de la lumière à Bucarest
Chaque année, le printemps intensifie les lumières et les sons qui inondent nos villes. Cela donne envie d’abandonner les espaces intérieurs pour célébrer les deux éléments en l’absence desquels vivre est un verbe qui perd de sa signification. En cette fin de mois d’avril, la capitale roumaine a vu quelques-uns de ses plus beaux bâtiments redessinés par des artistes de la lumière, elle a redécouvert son avenue emblématique, Calea Victoriei, revêtue des habits taillés sur mesure par ces artistes roumains et étrangers. Quelle a été la réaction des bucarestois ? Réponse, avec Mihaela Cretu du Centre Culturel de la ville de Bucarest (ARCUB) et Maxime Houot, artiste français participant au festival, au micro dIleana Taroi.
Brigitta Pana, 30.04.2015, 17:05
Chaque année, le printemps intensifie les lumières et les sons qui inondent nos villes. Cela donne envie d’abandonner les espaces intérieurs pour célébrer les deux éléments en l’absence desquels vivre est un verbe qui perd de sa signification. En cette fin de mois d’avril, la capitale roumaine a vu quelques-uns de ses plus beaux bâtiments redessinés par des artistes de la lumière, elle a redécouvert son avenue emblématique, Calea Victoriei, revêtue des habits taillés sur mesure par ces artistes roumains et étrangers. Quelle a été la réaction des bucarestois ? Réponse, avec Mihaela Cretu du Centre Culturel de la ville de Bucarest (ARCUB) et Maxime Houot, artiste français participant au festival, au micro dIleana Taroi.