Les 15 ans de la Fondation « Un coup de main d’Emmaüs-Iaşi »
Vingt-cinq ans après la chute dun régime communisme qui avait annulé tout penchant pour une quelconque action civique, les Roumains ont-ils appris à donner de leur temps, de leurs moyens et deux-mêmes pour venir en aide à dautres compatriotes moins chanceux ? Les étrangers qui leur ont fait découvrir laction caritative sont-ils toujours en première ligne ? Il y a quinze ans, les habitants de la ville de Iaşi, ancienne capitale princière, apprenaient lexistence dune fondation caritative française, arrivée chez eux avec lidée de les convaincre quaider ses semblables est un devoir et un épanouissement personnel de tout être humain. Retour sur ce parcours avec Carole Chemin, volontaire à la Fondation « Un coup de main dEmmaüs-Iaşi »
Brigitta Pana, 27.04.2015, 13:47
Vingt-cinq ans après la chute dun régime communisme qui avait annulé tout penchant pour une quelconque action civique, les Roumains ont-ils appris à donner de leur temps, de leurs moyens et deux-mêmes pour venir en aide à dautres compatriotes moins chanceux ? Les étrangers qui leur ont fait découvrir laction caritative sont-ils toujours en première ligne ? Il y a quinze ans, les habitants de la ville de Iaşi, ancienne capitale princière, apprenaient lexistence dune fondation caritative française, arrivée chez eux avec lidée de les convaincre quaider ses semblables est un devoir et un épanouissement personnel de tout être humain. Retour sur ce parcours avec Carole Chemin, volontaire à la Fondation « Un coup de main dEmmaüs-Iaşi »