La Semaine du cinéma roumain à Dakar
C’est un événement inédit au Sénégal… L’Institut français de Dakar accueille une « Semaine du cinéma roumain », organisée par l’Ambassade de Roumanie dans la capitale sénégalaise lASERCOS, Association sénégalo-roumaine pour la coopération et la solidarité. Quatre films du meilleur cru des dernières années, tous primés, figurent à l’affiche — « Papa vient dimanche » de Radu Jude, « Si je veux siffler, je siffle » par Florin Serban, « Notre école » de Mona Nicoara et Miruna Coca-Cosma et « Dacia, mon amour », le documentaire de Stefan Constantinescu et Julio Soto. Comment ont-il été reçus ? Comment s’intègrent-ils dans le paysage cinématographique sénégalais ? Nous en parlons avec Boglárka Nagy, programmatrice de cette semaine et chargée de la programmation cinéma de l’Institut français de Bucarest et avec Cheikh Ndao, président de l’ASERCOS et ancien boursier en Roumanie.
Andrei Popov, 06.02.2014, 13:27
C’est un événement inédit au Sénégal… L’Institut français de Dakar accueille une « Semaine du cinéma roumain », organisée par l’Ambassade de Roumanie dans la capitale sénégalaise lASERCOS, Association sénégalo-roumaine pour la coopération et la solidarité. Quatre films du meilleur cru des dernières années, tous primés, figurent à l’affiche — « Papa vient dimanche » de Radu Jude, « Si je veux siffler, je siffle » par Florin Serban, « Notre école » de Mona Nicoara et Miruna Coca-Cosma et « Dacia, mon amour », le documentaire de Stefan Constantinescu et Julio Soto. Comment ont-il été reçus ? Comment s’intègrent-ils dans le paysage cinématographique sénégalais ? Nous en parlons avec Boglárka Nagy, programmatrice de cette semaine et chargée de la programmation cinéma de l’Institut français de Bucarest et avec Cheikh Ndao, président de l’ASERCOS et ancien boursier en Roumanie.