Chambres entrouvertes
Arrivés dans la région au 17e siècle, fuyant lempire ottoman et les guerres, les Bulgares du Banat ont assimilé, réinterprété et fait leurs les cultures avec lesquelles ils sont venus en contact. Ils sont catholiques et non orthodoxes, leur langue a subi de nombreuses influences roumaines, allemandes, hongroises, leur alphabet est latin. Aujourdhui, il nen reste quun millier de personnes environ de cette communauté, qui renferme toujours, soigneusement, nombre de secrets. Pusha Petrov, artiste visuelle et chercheuse, a souhaité fouiller un peu dans les tiroirs aux souvenirs des vieilles chambres. Des chambres appelées « soba », poêle en traduction littérale. Pusha Petrov est lauteure de « Soba », lexposition sur les Bulgares du Banat, à voir à la galerie de ICR, au 1 rue de lExposition à Paris.
Andrei Popov, 27.10.2016, 13:25
Arrivés dans la région au 17e siècle, fuyant lempire ottoman et les guerres, les Bulgares du Banat ont assimilé, réinterprété et fait leurs les cultures avec lesquelles ils sont venus en contact. Ils sont catholiques et non orthodoxes, leur langue a subi de nombreuses influences roumaines, allemandes, hongroises, leur alphabet est latin. Aujourdhui, il nen reste quun millier de personnes environ de cette communauté, qui renferme toujours, soigneusement, nombre de secrets. Pusha Petrov, artiste visuelle et chercheuse, a souhaité fouiller un peu dans les tiroirs aux souvenirs des vieilles chambres. Des chambres appelées « soba », poêle en traduction littérale. Pusha Petrov est lauteure de « Soba », lexposition sur les Bulgares du Banat, à voir à la galerie de ICR, au 1 rue de lExposition à Paris.