Mademoiselle Cantatrice à la 10e Nuit des Instituts culturels de Bucarest
Lorsqu’elle chante, la nuit prend des couleurs. Lorsqu’elle chante, l’histoire surgit et se laisse lire sur son corps. Un corps démesuré, et pourtant familier, proche, presque maternel. Un piano, une voix, une robe et des images, voilà les parties du corps de Mademoiselle Cantatrice. Un projet artistique français difficile à mettre dans une case, actuellement en tournée en Roumanie et qui débarque à Bucarest pour envoûter la Nuit des Instituts culturels étrangers de la capitale roumaine.
Andrei Popov, 24.06.2016, 20:35
Lorsqu’elle chante, la nuit prend des couleurs. Lorsqu’elle chante, l’histoire surgit et se laisse lire sur son corps. Un corps démesuré, et pourtant familier, proche, presque maternel. Un piano, une voix, une robe et des images, voilà les parties du corps de Mademoiselle Cantatrice. Un projet artistique français difficile à mettre dans une case, actuellement en tournée en Roumanie et qui débarque à Bucarest pour envoûter la Nuit des Instituts culturels étrangers de la capitale roumaine.
De « Mademoiselle Cantatrice », avec la soprano Laëticia Volcey, la voix et pour ainsi dire la partie mobile du personnage, lartiste visuel Lionel Lauret, le corps de « Mlle Cantarice » et le créateur de ce projet et Alexandru Popovici, chargé de communication à lInstitut Français de Bucarest, hôte de « Mlle Cantatrice » dans la capitale roumaine.