Ma thèse en 180 secondes
Avec, pour point de
départ, un concept de l’Université du Queensland en Australie, le concours Ma thèse en 180 secondes est repris en
2012, au Québec, par l’Association francophone pour le savoir qui a souhaité
l’étendre à l’ensemble des pays francophones. Organisée pour la première fois
en Roumanie en 2017, ce concours se
propose de mettre en avant les jeunes chercheurs francophones en attirant
l’attention du public sur la recherche actuelle. Les règles du jeu sont très simples :
chaque candidat a un micro et 3 minutes pour présenter ses travaux de doctorat,
en français et en termes simples, à un auditoire profane et diversifié. Dans
chaque pays, Ma thèse en 180 secondes
est portée par des organisations différentes. En Roumanie, c’est à l’Agence
universitaire de la Francophonie, en partenariat avec l’Institut français, de
s’en charger. Détails avec M. Mohamed Ketata, directeur régional de l’Agence
universitaire de la Francophonie en Europe centrale et orientale, au micro d’Ioana
Stăncescu.
Ioana Stăncescu, 04.08.2020, 14:14
Avec, pour point de
départ, un concept de l’Université du Queensland en Australie, le concours Ma thèse en 180 secondes est repris en
2012, au Québec, par l’Association francophone pour le savoir qui a souhaité
l’étendre à l’ensemble des pays francophones. Organisée pour la première fois
en Roumanie en 2017, ce concours se
propose de mettre en avant les jeunes chercheurs francophones en attirant
l’attention du public sur la recherche actuelle. Les règles du jeu sont très simples :
chaque candidat a un micro et 3 minutes pour présenter ses travaux de doctorat,
en français et en termes simples, à un auditoire profane et diversifié. Dans
chaque pays, Ma thèse en 180 secondes
est portée par des organisations différentes. En Roumanie, c’est à l’Agence
universitaire de la Francophonie, en partenariat avec l’Institut français, de
s’en charger. Détails avec M. Mohamed Ketata, directeur régional de l’Agence
universitaire de la Francophonie en Europe centrale et orientale, au micro d’Ioana
Stăncescu.