L’écrivaine Ariana Harwicz, au festival FILIT, de Iasi
Trois des romans écrits par Ariana Harwicz son parus en roumain, chez les éditions Vellant.
Ioana Stăncescu, 14.11.2024, 19:44
Née en Argentine et vivant en France, l’écrivaine Ariana Harwicz a été nominée en 2018 au prix international Booker pour son tout premier roman « Crève, mon amour », traduit en roumain par Liliana Plesa Iacob pour les éditions Vellant. Dotée d’une plume impitoyable qui n’épargne personne et capable de jouer la fine observatrice des pires angoisses humaines, Ariana Harwicz a été invitée au dernier Festival international de littérature et de traduction littéraire FILIT, de Iasi. Après un deuxième roman « Dégénéré » traduit en roumain par la même Liliana Plesa Iacob pour les mêmes éditions Vellant, voici qu’un troisième roman, Perdre le jugement, vient de paraître chez Vellant, dans la traduction de Cornelia Radulescu. Une occasion pour proposer à Ariana Harwicz un dialogue autour de ses livres, de ses personnages, de ses thèmes d’écriture