Le prix des jeunes écritures
Toute histoire
commence un jour, quelque part. C’est cette petite phrase qui ouvre le
roman « Les exilés meurent aussi d’amour » d’Abnousse Shalmani, qui
devra servit d’incipit à tous les textes inscrits dans la compétition « Le
prix des jeunes écritures » lancée début décembre par l’Agence
Universitaire de la Francophonie en partenariat avec RFI. Un défit à relever
par tous les passionnés de la langue française et de la littérature, comme
l’affirme Mohamed Ketata, directeur de l’AUF pour l’Europe centrale et
orientale en dialogue avec Ioana Stancescu.
Ioana Stăncescu, 11.12.2018, 11:42
Toute histoire
commence un jour, quelque part. C’est cette petite phrase qui ouvre le
roman « Les exilés meurent aussi d’amour » d’Abnousse Shalmani, qui
devra servit d’incipit à tous les textes inscrits dans la compétition « Le
prix des jeunes écritures » lancée début décembre par l’Agence
Universitaire de la Francophonie en partenariat avec RFI. Un défit à relever
par tous les passionnés de la langue française et de la littérature, comme
l’affirme Mohamed Ketata, directeur de l’AUF pour l’Europe centrale et
orientale en dialogue avec Ioana Stancescu.