France Alumni Roumanie
Ils sont près de 4600 seulement pour les années 2013-2014. En licence, en master, pour des stages, les étudiants et les boursiers roumains du gouvernement français sont loin dêtre une rareté dans lHexagone. Une bourse du gouvernement français, cest une chance mais comment la mettre à profit par la suite, comment faire valoir, sur le marché local de lemploi, ce type parcours, qui apporte une touche dexcellence et de prestige à tout CV? Il existe, en Roumanie, une Association des anciens boursiers du gouvernement français, qui publie un annuaire de ses membres. Mais la nouveauté de la fin 2015 cest que ce pavé de plus de 300 pages saccompagne désormais dune version numérisée, beaucoup plus facile daccès sur la toute fraîche plate-forme Francealumni Roumanie (roumanie.francealumni.fr), qui vient dêtre lancée à Bucarest. Pour nous en parler – Mme Silvia Marton, maître de conférences à la Faculté de Sciences politiques de lUniversité de Bucarest et M Michel Roy, attaché pour la coopération universitaire et scientifique de lInstitut français de Roumanie.
Andrei Popov, 21.12.2015, 11:04
Ils sont près de 4600 seulement pour les années 2013-2014. En licence, en master, pour des stages, les étudiants et les boursiers roumains du gouvernement français sont loin dêtre une rareté dans lHexagone. Une bourse du gouvernement français, cest une chance mais comment la mettre à profit par la suite, comment faire valoir, sur le marché local de lemploi, ce type parcours, qui apporte une touche dexcellence et de prestige à tout CV? Il existe, en Roumanie, une Association des anciens boursiers du gouvernement français, qui publie un annuaire de ses membres. Mais la nouveauté de la fin 2015 cest que ce pavé de plus de 300 pages saccompagne désormais dune version numérisée, beaucoup plus facile daccès sur la toute fraîche plate-forme Francealumni Roumanie (roumanie.francealumni.fr), qui vient dêtre lancée à Bucarest. Pour nous en parler – Mme Silvia Marton, maître de conférences à la Faculté de Sciences politiques de lUniversité de Bucarest et M Michel Roy, attaché pour la coopération universitaire et scientifique de lInstitut français de Roumanie.