Yamen Manaï, Prix des cinq continents de la Francophonie 2017
Notre invité est né en 1980, à Tunis, où il fait toute
la première partie de sa scolarité. La seconde partie, il la fait à Paris. Un
diplôme d’ingénieur en poche, il travaille dans le domaine des nouvelles
technologies de l’information. On aurait pensé que cela allait occuper tout son
temps (on connait parfaitement la capacité de séduction de ces technologies !).
Eh bien non. Notre invité se met à écrire et publie son premier roman « La
Marche de l’incertitude » en 2010, récompensé par le Comar d’or, prix
littéraire de Tunisie. En 2011, parait son deuxième roman, « La sérénade
d’Ibrahim Santos », récompensé lui aussi du Prix Alain-Fournier. Et puis,
vient 2017, l’année de la parution du troisième roman, « L’Amas
ardent », couronné du Prix des cinq continents de la Francophonie, du
Grand Prix du roman métis et, à nouveau, du Comar d’or. Il vit presqu’en même
temps en France et en Tunisie et ce soir se trouve à Bucarest. Yamen
Manaï est l’invité d’Ileana Taroi et de Virgile Prod’homme.
Brigitta Pana, 29.11.2018, 14:08
Notre invité est né en 1980, à Tunis, où il fait toute
la première partie de sa scolarité. La seconde partie, il la fait à Paris. Un
diplôme d’ingénieur en poche, il travaille dans le domaine des nouvelles
technologies de l’information. On aurait pensé que cela allait occuper tout son
temps (on connait parfaitement la capacité de séduction de ces technologies !).
Eh bien non. Notre invité se met à écrire et publie son premier roman « La
Marche de l’incertitude » en 2010, récompensé par le Comar d’or, prix
littéraire de Tunisie. En 2011, parait son deuxième roman, « La sérénade
d’Ibrahim Santos », récompensé lui aussi du Prix Alain-Fournier. Et puis,
vient 2017, l’année de la parution du troisième roman, « L’Amas
ardent », couronné du Prix des cinq continents de la Francophonie, du
Grand Prix du roman métis et, à nouveau, du Comar d’or. Il vit presqu’en même
temps en France et en Tunisie et ce soir se trouve à Bucarest. Yamen
Manaï est l’invité d’Ileana Taroi et de Virgile Prod’homme.