Une matinée perdue, de Gabriela Adamesteanu
Grande voix de la littérature roumaine contemporaine, Gabriela Adamesteanu
est née en 1942, à TarguOcna, dans le département de Bacau. Issue d’un
milieu d’intellectuels passionnés d’histoire et de généalogie, elle allait
débuter assez tard en littérature, à cause, dit-elle, de son dégoût pour
l’obligation d’obéir aux règnes du « réalisme-socialiste ». Paru en 1975, son
premier roman sera publié en français sous le titre « Vienne le
jour », traduit du roumain par Marily Le Nir, en 2009. Son deuxième roman
date de 1983 et il deviendra son premier roman traduit en français, sous le
titre « Une matinée perdue ». Traduit par Alain Paruit, ce titre
recevra le Prix de l’Union des écrivains de Roumanie en 1985. Et c’est
justement de cette « Matinée perdue » que Mathieu Fabre, libraire
chez Kyralina, a choisi de faire son coup de cœur.
Ioana Stăncescu, 15.03.2022, 07:40
Grande voix de la littérature roumaine contemporaine, Gabriela Adamesteanu
est née en 1942, à TarguOcna, dans le département de Bacau. Issue d’un
milieu d’intellectuels passionnés d’histoire et de généalogie, elle allait
débuter assez tard en littérature, à cause, dit-elle, de son dégoût pour
l’obligation d’obéir aux règnes du « réalisme-socialiste ». Paru en 1975, son
premier roman sera publié en français sous le titre « Vienne le
jour », traduit du roumain par Marily Le Nir, en 2009. Son deuxième roman
date de 1983 et il deviendra son premier roman traduit en français, sous le
titre « Une matinée perdue ». Traduit par Alain Paruit, ce titre
recevra le Prix de l’Union des écrivains de Roumanie en 1985. Et c’est
justement de cette « Matinée perdue » que Mathieu Fabre, libraire
chez Kyralina, a choisi de faire son coup de cœur.