Le courrier des auditeurs – 17.01.2014
Ioana répond à vos messages...
Ioana Stăncescu, 17.01.2014, 14:02
Comment allez-vous ? Qu’est ce que vous avez fait de beau pendant les vacances d’hiver ? En attendant de vos nouvelles, je dis bonjour ou bonsoir à notre cher Christian Ghibaudo de Nice. Comment allez-vous ? Nous sommes très contents de constater que notre site Internet vous semble fluide, que vous appréciez la transcription des différentes émissions diffusées et surtout que coté audio, tout est parfait, comme vous l’affirmez. Ligia aussi regrette votre absence, cela lui aurait fait certainement grand plaisir de vous revoir. Mais, le boulot est primordial, on le sait tous très bien ! Après un été pas trop chaud, comme l’hiver a-t-il été jusqu’à présent sur la Côte d’Azur ? Je serais bien curieuse de l’apprendre, surtout après ce qui s’est passé chez nous où les thermomètres ont montré une dizaines de degrés à Noël. Gros bisous de la part de nous tous !
Restons toujours en France pour un petit clin d’œil amical à notre auditeur Jacques Augustin qui écrit – « chers amis comment ne pas écouter les émissions de Radio Roumanie Internationale avec des programmes soutenant directement la francophonie et nous ouvrant des fenêtres vers la Grande culture Roumaine? La réponse coule de source vers le positif tant les chroniques sont bien conçues et construites. Lexcellente qualité de la réception ne peut que renforcer la motivation que jéprouve à légard de RRI! Une Amitié envers le service français est profondément ressentie depuis mon domicile. Jy trouve une Liberté dexpression depuis quen 1989 le Communisme a laissé place à la démocratie. Chaque chronique apporte son lot déléments nouveaux telle une leçon sur la vie sociale et politique en Roumanie qui inclut ce que chaque Région a de propre. Les programmes musicaux sont excellents et je les adore tout simplement tant ce sont des inédits pour votre auditeur ». Que dire de plus après un tel message sinon merci, merci de tout cœur, cher M. Augustin, c’est tout simplement une joie et un véritable honneur pour nous d’avoir des auditeurs comme vous. Espérons pouvoir compter sur votre fidélité envers nos programmes en 2014 aussi. Gros bisous de la part de nous tous !
Chers amis, dans les minutes suivantes je voudrais répondre à l’une des questions posées par notre ami Michel Beine de Belgique à savoir si les Roumains sont-ils victimes du stress au travail. Pour cela, j’ai invité au micro Lucian Mihai, formateur auprès d’une société de consulting et qui connaît très bien les risques de l’épuisement au travail.
Découvrez le sujet ici – http://www.rri.ro/fr_fr/michel_beine_belgique_les_roumains_et_le_stress-11832
Je voudrais passer le bonjour de nous tous à notre chers amis français Jean- Marie Monplot et Gilles Gautier. Comment allez-vous, chers amis de RRI ? En fait, je voulais vous dire grand merci pour les rapports d’écoute riches en détails que vous continuez à rédiger. Merci à tous les trois ! Cher Jean–Marie, Andrei vous a déjà expliqué la situation de vos cartes QSL. Est-ce que vous les avez finalement reçues ? Cher Gilles Gautier, rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul à céder aux avantages des nouvelles technologies. Le courrier électronique, cela marche plus vite que la poste, c’est plus commode, plus rapide et surtout, le feed-back arrive sur le coup. Pourtant, les lettres ont leur charme particulier difficile à ignorer. Pourtant, l’important est de préserver la communication vivante, n,’est ce pas ? Très intéressante votre question sur les diplômes scolaires de Roumanie. Malheureusement, tout comme en France, les jeunes roumains aussi affirment de plus en plus que ces diplômes ne servent pas à grand chose puisque les postes sont gelés, la crise persiste, le chômage atteint des taux alarmants et l’école ne garantit plus la performance. Je vais revenir là-dessus dans les semaines à venir pour approfondir un peu le sujet. Bisous de Bucarest et au plaisir de vous lire !
Madame, Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. Ioana vous fait une grosse bise radiophonique et vous donne rendez-vous d’ici deux semaines à une nouvelle édition de votre courrier.