L’historienne Speranța Diaconescu ancienne fonctionnaire à l’Office culturel national de Bucarest raconte dans une interview de 1997, conservée par le Centre d’histoire orale de la Radiodiffusion roumaine, la manière que le régime communiste de l’époque a utilisée pour mettre à terre nombre de lieux de culte.
Cette année, l'Eglise orthodoxe roumaine fête 140 depuis qu’elle fut proclamée église autocéphale et 100 ans depuis la création de la Patriarchie de Roumanie, en 1925.
La Roumanie et le Japon entretiennent des relations diplomatiques depuis 1902, date à laquelle les deux pays ont signé un traité commercial. Pendant la Première Guerre mondiale, la légation roumaine à Tokyo a été ouverte en 1917. Auparavant, l'espace japonais avait été décrit par un Roumain dans le dernier quart du XVIIe siècle, Nicolae Milescu, un routard qui avait voyagé en Extrême-Orient. Retour.
En 1975, une déclaration appelée l’Acte final d'Helsinki était signée dans la capitale finlandaise, censée trouver une solution unitaire aux problèmes de l’Europe, malgré le Rideau de Fer qui, à la fin des années 1940, avait divisé le Vieux Continent entre l’Occident capitaliste et l’Est communiste. Plusieurs principes reposaient à la base de cet accord, dont renouer des relations plus détendues et s’abstenir à la violence, deux normes strictement respectées. Retour, 50 ans après la signature de cet Acte.
L’histoire de l’urbanisme bucarestois était souvent traversée de visions contradictoires, écartées entre modernité et tradition.
Sport cérébral entre tous du fait de sa complexité et des exigences d’anticiper la stratégie de l’adversaire, les échecs demeurent un sport extrêmement populaire à travers le monde, la Roumanie n’en faisant pas exception. Histoire.
La Roumanie, membre du bloc communiste et du pacte de Varsovie, n’avait noué des relations diplomatiques qu’avec la RDA. A partir de la seconde moitié des années 60, la position de Bucarest en matière de politique étrangère qui semblait la distancer de plus en plus de Moscou, amena la RFA à établir des relations diplomatiques avec la Roumanie en 1967.
L’année 1989 en l’Europe centrale et de l’Est a bouleversé le monde, a rabatté les cartes et a touché des espaces géostratégiques étendus.
On a souvent dit que la Révolution roumaine de 1989 a été réalisée par les jeunes, puisqu’ils ont été ceux qui s’y sont distingués le plus. Et c’est aux participants aux événements d’il y a 35 ans à expliquer aux jeunes d’aujourd’hui ce que signifie ne pas être libre. La Révolution expliquée aux jeunes d’aujourd’hui.
En décembre 1989, la révolution anticommuniste roumaine a mené à la chute du régime communiste dirigé à l’époque par Nicolae Ceausescu. Considérée comme le moment 0 de l’histoire récente de la Roumanie, même son interprétation a déclenché les passions.
Dans l’histoire de près de 250 années d’existence de la presse roumaine, la Gazette des mathématiques occupe une place à part. Durant ses 129 années d’existence la Gazette des mathématiques fut l’agora des meilleurs mathématiciens, chercheurs, ingénieurs, économistes et passionnés du domaine.
Le 6 février 1924, le gouvernement libéral dirigé par Ion I. C. Brătianu adoptait la loi des personnes morales, mettant hors la loi les organisations considérées comme extrémistes, soit la « Ligue national-chrétienne de défense », mouvement d’extrême droite, fondé en 1923, mais aussi le Parti communiste roumain, organisation d’extrême gauche
Commémoration de la première publication de cet auteur roumain, connu pour son livre monumental, en trois tomes, intitulé « L’histoire de la civilisation roumaine moderne », paru cent ans auparavant.
Dans leur ouvrage intitulé « L’armée roumaine pendant la Seconde Guerre mondiale », les historiens Alesandru Duțu, Florica Dobre et Leonida Loghin notent que de ces plus de 90 000 prisonniers soviétiques, 13 682 avaient été libérés par décision du gouvernement roumain, s’agissant de prisonniers d’origine roumaine, originaires de ces deux provinces historiques, la Bessarabie et le Nord de la Bucovine, occupées par l’URSS un an auparavant.
Dans son ouvrage récent intitulé « Le prince Nicolas. Exil et rivalités », Diana Mandache, s’appuyant sur des informations récoltées des archives nationales et sur des sources étrangères, reconstitue la personnalité du prince Nicolas et la place qu’il occupe dans la diaspora roumaine pendant son exil.