Sport cérébral entre tous du fait de sa complexité et des exigences d’anticiper la stratégie de l’adversaire, les échecs demeurent un sport extrêmement populaire à travers le monde, la Roumanie n’en faisant pas exception. Histoire.
La Roumanie, membre du bloc communiste et du pacte de Varsovie, n’avait noué des relations diplomatiques qu’avec la RDA. A partir de la seconde moitié des années 60, la position de Bucarest en matière de politique étrangère qui semblait la distancer de plus en plus de Moscou, amena la RFA à établir des relations diplomatiques avec la Roumanie en 1967.
L’année 1989 en l’Europe centrale et de l’Est a bouleversé le monde, a rabatté les cartes et a touché des espaces géostratégiques étendus.
On a souvent dit que la Révolution roumaine de 1989 a été réalisée par les jeunes, puisqu’ils ont été ceux qui s’y sont distingués le plus. Et c’est aux participants aux événements d’il y a 35 ans à expliquer aux jeunes d’aujourd’hui ce que signifie ne pas être libre. La Révolution expliquée aux jeunes d’aujourd’hui.
En décembre 1989, la révolution anticommuniste roumaine a mené à la chute du régime communiste dirigé à l’époque par Nicolae Ceausescu. Considérée comme le moment 0 de l’histoire récente de la Roumanie, même son interprétation a déclenché les passions.
Dans l’histoire de près de 250 années d’existence de la presse roumaine, la Gazette des mathématiques occupe une place à part. Durant ses 129 années d’existence la Gazette des mathématiques fut l’agora des meilleurs mathématiciens, chercheurs, ingénieurs, économistes et passionnés du domaine.
Le 6 février 1924, le gouvernement libéral dirigé par Ion I. C. Brătianu adoptait la loi des personnes morales, mettant hors la loi les organisations considérées comme extrémistes, soit la « Ligue national-chrétienne de défense », mouvement d’extrême droite, fondé en 1923, mais aussi le Parti communiste roumain, organisation d’extrême gauche
Commémoration de la première publication de cet auteur roumain, connu pour son livre monumental, en trois tomes, intitulé « L’histoire de la civilisation roumaine moderne », paru cent ans auparavant.
Dans leur ouvrage intitulé « L’armée roumaine pendant la Seconde Guerre mondiale », les historiens Alesandru Duțu, Florica Dobre et Leonida Loghin notent que de ces plus de 90 000 prisonniers soviétiques, 13 682 avaient été libérés par décision du gouvernement roumain, s’agissant de prisonniers d’origine roumaine, originaires de ces deux provinces historiques, la Bessarabie et le Nord de la Bucovine, occupées par l’URSS un an auparavant.
Dans son ouvrage récent intitulé « Le prince Nicolas. Exil et rivalités », Diana Mandache, s’appuyant sur des informations récoltées des archives nationales et sur des sources étrangères, reconstitue la personnalité du prince Nicolas et la place qu’il occupe dans la diaspora roumaine pendant son exil.
L’usage des statères s’est répandu dans la Dobroudja d’aujourd’hui grâce aux colonies grecques établies tout au long du pourtour de la mer Noire, partie prenante du monde grec
En Roumanie, la voix du Parti communiste roumain se faisait entendre grâce à son journal officiel Scânteia, « l’Etincelle ».
La Securitate, la police politique du régime communiste roumain, a été créée à l’image du NKVD stalinien de l’époque et elle est demeurée sous la tutelle étroite de cette dernière institution jusqu’à la fin des années 1950. Mais dès le début des années 1960, la nouvelle politique d’indépendance de la Roumanie à l’égard de l’URSS démarrée par Gheorghe Gheorghiu-Dej signe aussi le divorce entre les polices politiques des régimes pourtant frères de Bucarest et de Moscou.
Vasile Luca devient, a été aux côtés d'Ana Pauker, l’une des figures de proue de l’aile moscovite du parti communiste roumain.
La destruction de la propriété privée dans l’agriculture, appelée réforme agraire pour la cause, se profile en Roumanie dès le 6 mars 1945, lors de l’installation sous la pression des Soviétiques du premier gouvernement roumain contrôlé par les communistes.