Dans le nord de la Roumanie, les habitants de la contrée historique de Maramures ont toujours été fiers de leur travail du bois, lui donnant les formes les plus diverses, à partir des bols pour la nourriture, jusqu’aux superbes églises où ils prient, en passant par les fameux portails sculptés de leurs jardins, devenus un véritable art. De nos jours encore, les touristes s’arrêtent devant les maisons de cette zone pour les admirer en toute leur beauté. Si bien qu’une route culturelle et touristique consacrée à la « Civilisation du bois en Roumanie » a vu récemment le jour. Découverte.
Les filles et femmes de la communauté rom sont un des groupes les plus vulnérables de la société roumaine. Souvent, elles se voient dépourvues de toute protection, étant en proie aux préjugés des autorités et victimes d’abus qui ne sont pas considérés comme tels par leurs propres familles. Le mythe est désormais démantelé : les mariages forcés ne sont pas une tradition. Enquête.
De nombreux intervenants ont proposé, à cette occasion, différents ateliers gratuits à destinations des adultes et des enfants.
Dans leur ouvrage intitulé « L’armée roumaine pendant la Seconde Guerre mondiale », les historiens Alesandru Duțu, Florica Dobre et Leonida Loghin notent que de ces plus de 90 000 prisonniers soviétiques, 13 682 avaient été libérés par décision du gouvernement roumain, s’agissant de prisonniers d’origine roumaine, originaires de ces deux provinces historiques, la Bessarabie et le Nord de la Bucovine, occupées par l’URSS un an auparavant.
Peu d’intellectuels roumains ont eu des préoccupations tellement diverses et à un niveau si élevé que Titu Maiorescu. Avocat, critique littéraire, essayiste, esthète, philosophe, pédagogue, homme politique et écrivain, Titu Maiorescu figure aux côtés de Petre P. Carp, parmi les figures de proue de la société littéraire « Junimea », où ont faits leurs débuts les auteurs roumains les plus importants. Titu Maiorescu et la renaissance de la culture roumaine.
Ştefan Ciochinaru, professeur des universités et spécialiste en relations internationales, revient sur la réélection de Donald Trump
Connu et reconnu pour le tourisme balnéaire dès la fin du 19e siècle, le département de Vâlcea reçoit toujours des milliers de touristes du monde entier. Chaque ville d’eau a son charme à elle et a préparé des paquets touristiques très intéressants pour les fêtes d’hiver de cette année. Découverte.
Qui sont les plus de 200 000 citoyens étrangers qui habitent en Roumanie ? D’où viennent-ils ? Pourquoi ont-ils choisi la Roumanie ? Quelles sont les difficultés auxquelles ils sont confrontés ? Nous explorons la vie des travailleurs étrangers de Roumanie, après les heures de travail.
Dans son ouvrage récent intitulé « Le prince Nicolas. Exil et rivalités », Diana Mandache, s’appuyant sur des informations récoltées des archives nationales et sur des sources étrangères, reconstitue la personnalité du prince Nicolas et la place qu’il occupe dans la diaspora roumaine pendant son exil.
Le volume « Povestea Trenului Regal / L’Histoire du Train royal », écrit par Tudor Vișan-Miu et Andrei Berinde, est un voyage littéraire dans le passé et le présent de ce symbole de la Royauté en Roumanie.
Ce film écrit et réalisé par le Roumain Bogdan Mureșanu, est pris en compte pour une nomination aux prix de l’Académie européenne du cinéma, qui récompense les plus importantes productions cinématographiques européennes.
La Roumanie est désormais le principal producteur de gaz naturel de l'UE, devançant les Pays-bas et cela même sans commencer la production de gaz en mer Noire. En effet, elle devrait commencer à extraire le gaz du gisement Neptune Deep à l’horizon 2027. Perspectives énergétiques.
En 2024, la tendance de retour des travailleurs dans les bureaux s’est poursuivie. La présence physique au travail est-elle nuisible ou plutôt bénéfique pour l’hygiène mentale des salariés ? Comment réussissent-ils à gérer les prétentions des employeurs ? Quelles sont les nouvelles conditions de travail à l’ère post-pandémie ? Enquête.
Aujourd’hui nous donnons la parole à deux maîtres artisans qui font de leur mieux pour perpétuer les traditions. Leur art : le travail du bois et la poterie. C’est à l’Ecole populaire d’Arts «Constantin Brâncuşi » de Târgu Jiu que deux de ces maîtres artisans nous ont fait part de leur expérience et cherchent à transmettre leur savoir faire en voie de disparition.
L’usage des statères s’est répandu dans la Dobroudja d’aujourd’hui grâce aux colonies grecques établies tout au long du pourtour de la mer Noire, partie prenante du monde grec