Le Musée de la ville de Bucarest a organisé une exposition de livres roumains datant du 17e siècle au début du 19e siècle, ayant comme thème les armoiries princières et les versifications que ces ouvrages contenaient.
Dans l’espace médiéval roumain, l’érudition et tout ce qui était liée à l’enseignement ainsi qu’à l’écriture et à l’impression de livres étaient concentrés à l’intérieur et autour des monastères. Ce fut le cas du monastère Sinaia, sis dans la station montagnarde homonyme de la Vallée de la Prahova. Avec son architecture impressionnante, ce lieu de culte orthodoxe s’est aussi fait remarquer par son association avec une importante famille princière et érudite des Cantacuzène.
Le prince Dimitrie Cantemir a lu et écrit des ouvrages dhistoires, de géographie, de musicologie, de philosophie et de littérature, devenant membre de lAcadémie des sciences de Berlin.
Le médecin Gheorghe Marinescu est le fondateur de la neurologie dans l’histoire de la médecine roumaine, dans une clinique de l’hôpital Colentina de Bucarest. Il fut le premier à soigner des patients souffrant de troubles neurologiques à la fin de la Première Guerre Mondiale. Portrait.
L’histoire de l’église roumaine de Jéricho commence en 1988, lorsque l’idée d’un établissement monacal vit le jour.
L’histoire du livre grand public commence dans l’espace roumain dans la seconde moitié du XIXème siècle. La vente et l’achat de livres se développent en rapport avec la dissémination de l’enseignement primaire et la baisse de l’illettrisme et, plus généralement, comme une conséquence de l’apparition et de la consolidation de l’Etat roumain moderne.
Ville des contrastes quasiment tout au long de son histoire, Bucarest a longtemps été aussi un mélange de rural et d’urbain.
L’histoire du département de Gorj, au sud-ouest de la Roumanie, est le berceau Dincă Schileru, entrepreneur, homme politique et lobbyiste.
Il ne suffit que de se balader dans les quartiers historiques de Bucarest pour pouvoir admirer les anciennes maisons bourgeoises et découvrir l'historie de leur architecture et des architectes qui les ont construites.
Une avenue juive de la Victoire est un élément particulièrement important du Bucarest multiculturel, ainsi qu’une contribution majeure à l’histoire de la Roumanie multiculturelle à travers des personnalités et des lieux.
... il s’est ouvert en fait à Hobița, un village du nord de l’Olténie historique où le sculpteur est né le 19 février 1876.
Edifice à larchitecture particulièrement raffinée et riches ornements, la Maison Macca est une des constructions les plus fascinantes du patrimoine bucarestois.
Les sources historiques remarquent assez souvent la présence de la vigne sur lensemble de lespace nord-danubien.
Ion Nae Theodorescu de son vrai nom, Arghezi a abordé tous les genres littéraires, mais son talent sest le mieux exprimé en poésie.
Environ 800 appartements y ont été construits, dans une première étape, sur une superficie dà peu près 6000 mètres carrés dans la seconde moitié des années 1950.