En Roumanie, plus d’un million de fidèles orthodoxes célèbrent Noël selon un calendrier à l’ancienne. Il s’agit surtout des Russes lipovéens, la communauté russe basée en Dobrodgea, des Ukrainiens, des Moldaves et des Serbes.
La fin d’année est toujours un moment où chacun tente de faire de son mieux pour aider les autres et faire le bien. Et c’est justement sur ce genre d’initiative que nous allons examiner aujourd’hui : un projet qui vient en aide aux personnes atteintes de cancer en leur faisant don de perruques conçues avec des cheveux naturels. Lancé par la Fondation Renaşterea (Renaissance) « Brave cut », invite les gens qui souhaitent changer de coiffure à faire don de leurs cheveux pour en faire des perruques.
Voici l’histoire d’un savon pas comme les autres, car c’est un savon... centenaire. C’était le 3 mars 1886 que Lippa Brunstein enregistrait à la mairie la fabrique de sa famille. Aujourd’hui, comme à cette époque-là, « Cheia » est une affaire de famille qui s’enorgueillit d’utiliser depuis toujours des ingrédients naturels et de tout faire manuellement avec la plus grande attention.
A Curtea de Arges, la Fabrique du Père Noël produit depuis 1989 des boules et autres décorations pour le sapin de Noël. Faites à la main d'un bout à l'autre, ces décorations uniques ont depuis fait le tour du monde. Visite guidée.
Le style « Bauhaus » sert de source d’inspiration et d’éducation pour les adolescents de Bucarest à la recherche de nouvelles manières de s’exprimer. Dans la capitale roumaine, le Musée de la Littérature roumaine accueille l’exposition « Bauhaus 2024 » réunissant des créations réalisées par des lycéens.
De nombreux intervenants ont proposé, à cette occasion, différents ateliers gratuits à destinations des adultes et des enfants.
Aujourd’hui nous donnons la parole à deux maîtres artisans qui font de leur mieux pour perpétuer les traditions. Leur art : le travail du bois et la poterie. C’est à l’Ecole populaire d’Arts «Constantin Brâncuşi » de Târgu Jiu que deux de ces maîtres artisans nous ont fait part de leur expérience et cherchent à transmettre leur savoir faire en voie de disparition.
Le nouveau film sensation réalisé par Bogdan Mureşanu et récemment sorti dans les salles roumaines
« L’eau du Danube, bonne à boire » est une partie du projet européen appelé « La restauration du bassin hydrologique du Danube pour les écosystèmes et les Humains, de la montagne et jusqu’à la mer. Le Danube pour tous ! »
« Glossaire de résidence. Art et anthropologie » est un projet qui a présenté au public les conclusions de deux ans de recherches anthropologiques et linguistiques qu’une équipe ayant à sa tête Dana Pârvulescu.
A Peștișani, petite commune du département de Gorj, dans le sud-est de la Roumanie, l’association Discover Peștișani a mis sur pied une nouvelle édition du Festival des « sarmale » et des « piftii ».
« Passe ton BAC sans soucis », c’est le slogan imaginé par un groupe d’étudiantes de Cluj, qui, après avoir décroché des moyennes très élevées à cet examen, ont cherché à faciliter cette expérience pour les élèves moins chanceux. Ce projet s’appelle la « Bacadémie ».
Le festival « Passion Doina » a été consacrée à la « doina », cette création lyrique vocale ou instrumentale, typique du peuple roumain qui, en 2009, a été inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.
Cette année, à l’occasion du 143e anniversaire de la naissance de George Enescu, un spectacle immersif unique consacré au plus grand compositeur roumain, George Enescu, a été présenté en première à Bucarest et cela pourrait devenir une nouvelle série de spectacles dans les futures éditions du Festival international de musique classique George Enescu.
C’est pour parler de ce phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur et pour mieux essayer de le combattre que des colonies anti-harcèlement ont vu le jour. Découverte.