Une exposition regroupant huit salles avec des ouvrages et des concepts illustrant des thèmes spécifiques
Le film roumain « Trei kilometri până la capătul lumii / Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde » (réalisé par Emanuel Pârvu), sélectionné, cette année, dans la compétition officielle au Festival de Cannes, a été récompensé de la Palme Queer.
Bogdan Dumitrache a gagné trois trophées Gopo, du cinéma roumain: en 2011 pour le « Portrait de jeunesse du combattant » (de Constantin Popescu), en 2012 pour « Par amour avec les meilleures intentions » (d’Adrian Sitaru) et en 2019 pour « Pororoca » (de Constantin Popescu).
Cela fait plus de trente ans qu’Andrei Ursu se bat pour faire connaître la vérité sur la mort de son père.
« Le film est construit avec la minutie dune investigation policière, le spectateur étant invité à être lui-même le détective », a déclaré Călin Peter Netzer.
Le Théâtre national radiophonique a lancé une nouvelle collection de spectacles sonores, « Radio Roumanie 95. Spectacles de collection », créée à l'occasion du quatre-vingt-quinzième anniversaire de la radio publique roumaine.
La deuxième édition de la Foire internationale d’Art contemporain de Bucarest, MoBU, a eu lieu du 29 mai au 2 juin, dans le pavillon central du Parc des expositions Romexpo.
Ce film, qui marque le début dans le genre documentaire de la comédienne et journaliste radio Carla-Maria Teaha, met en lumière Nora Iuga, une des plus importantes écrivaines roumaines, qui a fêté ses 93 ans le 4 janvier 2024.
Au centre-nord de la Roumanie, la ville de Cluj-Napoca accueille du 14 au 24 juin la 23e édition du Festival international du Film Transilvania (TIFF), avec un hommage rendu cette année au Japon et un programme éclectique réunissant des films de référence de l’histoire du cinéma mondial, quelques-unes des productions récentes les plus appréciées, ainsi que des ateliers et des événements spéciaux. Nous passons en revue les principaux titres à l’affiche du TIFF 2024, ses invités et ses moments les plus importants.
Le public aura l’occasion de découvrir des objets entrés au patrimoine du Musée national d'histoire de la Roumanie ces quinze dernières années.
3e édition de cet évènement en soutien aux familles roumaines avec un enfant en situation de handicap.
Sighișoara est une des villes de Roumanie à avoir réussi à préserver un centre-ville médiéval attractif. Son nom est lié à celui du prince Vlad Țepeș (l’Empaleur) Dracula, qui y naquit en 1431, mais aussi à un festival d’art médiéval, à sa citadelle fortifiée, à sa Tour à l’Horloge et à plusieurs autres points d’attraction. Tels que le musée de la ville de Sighișoara, qui fête cette année 125 années d’existence.
Le public roumain a pu le voir en avant-première nationale lors du festival Les Films de Cannes à Bucarest, où il a été présenté dans la section Les Avant-premières de l’automne, remportant le Prix du public.
Lors du vernissage de l’exposition « Résurrection », à l’intérieur de la Galerie CREART, les invités ont pu sentir l’odeur purificatrice de l’encens. La chromatique des créations, les gris déjà consacrés de l’auteur et d’autres éléments subtiles donnent la mesure d’une personnalité artistique complexe.
Trente-cinq ans après la Révolution roumaine, l’Institut culturel roumain a célébré la liberté sous toutes ses formes à la plus récente édition du à la Foire du livre de Londres, la London Book Fair.