En Roumanie, elle a déjà remporté trois prix GOPO du cinéma national et neuf nominations pour sa contribution à des productions telles que « Eu când vreau să fluier, fluier / Moi, quand je veux siffler, je siffle », « Loverboy », « Un pas în urma serafimilor / Un pas derrière les séraphins », « Funeralii fericite / Heureuses obsèques », « Aferim ! », « Câmp de maci / Un champ de coquelicots » ou bien « Nu aștepta prea mult de la sfârșitul lumii / N’attends pas trop de la fin du monde ».
Nous parlons théâtre expérimental vous présenter un spectacle du type performance réalisé par un groupe d’artistes européens sous l’œil attentif de la metteuse en scène roumaine Ioana Paun. Il explore la complexité des relations modernes, la vulnérabilité humaine ou encore les tensions émotionnelles amplifiées par le milieu en ligne. Un spectacle que le public de République tchèque et de Slovaquie a trouvé intense et provocateur. Le public roumain a pu aussi voir ce « performance » à la mi-septembre à Bucarest.
Un nouveau film roumain vient de sortir dans les salles de cinéma du pays pour s’attaquer à un sujet majeur et nécessaire. « Clara », le long métrage de début du réalisateur Sabin Dorohoi, met au premier plan l’histoire des millions de Roumains obligés à partir à l’étranger pour assurer une vie meilleure à leurs familles. Cinéma et société.
Ce film écrit et réalisé par le Roumain Bogdan Mureșanu, est pris en compte pour une nomination aux prix de l’Académie européenne du cinéma, qui récompense les plus importantes productions cinématographiques européennes.
Des salles de théâtre mais aussi des espaces non conventionnels de Bucarest ont accueili la trente-quatrième édition du Festival national de théâtre, véritable marathon de spectacles et de nombreux autres événements connexes.
Une exposition se propose de mettre en lumière les résultats du travail des scientifiques sur les colorants naturels, ainsi que les modalités dont ces substances constituent une ressource dans l’art contemporain et créent une connexion entre les tissus contemporains et traditionnels par le biais des colorants. A découvrir au Musée national d’histoire de la Roumanie (MNIR).
Ce deuxième long-métrage écrit et réalisé par Andrei Crețulescu, compte sur le talent de quatre acteurs de premier rang de la nouvelle vague du cinéma roumain. Composé de trois parties filmées en plans-séquences, le film est un mélange de genres et de styles cinématographiques qui racontent une histoire sur le comment (ne pas) faire un film.
Dans le cadre du projet artistique multidisciplinaire « Connaitre le monde », le groupe de comédiens « Vanner Collective » a proposé une série d’activités visant à développer l’expressivité des personnes en situation de handicap. Comment rapprocher les personnes handicapées de leur propre expressivité? Enquête.
La 19e édition du Festival Animest organisée du 4 au 13 octobre met un coup de projecteur sur les films italiens d’animation. Cette année, le public a eu l’occasion unique d’explorer la richesse et la diversité de l’animation grâce à une sélection impressionnante de films, d’invités et d’événements, qui mettent au premier plan des classiques du genre ainsi que des créations contemporaines de renommée internationale.
« Bestiaire » c’est le titre d’une recherche réalisée par le biais des focus-groupes en neuf sessions d’ateliers de psychoéducation et d’exploration par des moyens vidéo à l’intention des adolescents. Les ateliers ont été menés par des professionnels du domaine de la santé mentale, de la chorégraphie et du cinéma. Le tout a été réuni dans deux représentations du spectacle « Bestiaire » au Théâtre Metropolis.
La carrière de Niko Becker a débuté sur la scène du Théâtre allemand d’Etat de Timișoara. On le retrouve aujourd'hui dans « Spre nord », premier long-métrage de Mihai Mincan réalisé grâce à une coproduction européenne réunissant cinq pays, et qui raconte l’histoire de Joël, un marin philippin très croyant, qui travaille sur un bateau transatlantique à bord duquel il découvre Dumitru, passager clandestin caché parmi les conteneurs.
Chaque été, le cinéma indépendant est mis à l’honneur en Roumanie, dans le cadre du Festival international de film indépendant Anonimul, qui se tient à Sfantu Gheorghe, là où le Danube se jette dans la mer Noire. Nous passons en revue les nouveautés de cette 21e édition d’un festival pas comme les autres.
Une exposition regroupant huit salles avec des ouvrages et des concepts illustrant des thèmes spécifiques
Le film roumain « Trei kilometri până la capătul lumii / Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde » (réalisé par Emanuel Pârvu), sélectionné, cette année, dans la compétition officielle au Festival de Cannes, a été récompensé de la Palme Queer.
Bogdan Dumitrache a gagné trois trophées Gopo, du cinéma roumain: en 2011 pour le « Portrait de jeunesse du combattant » (de Constantin Popescu), en 2012 pour « Par amour avec les meilleures intentions » (d’Adrian Sitaru) et en 2019 pour « Pororoca » (de Constantin Popescu).