L’usage des statères s’est répandu dans la Dobroudja d’aujourd’hui grâce aux colonies grecques établies tout au long du pourtour de la mer Noire, partie prenante du monde grec
Les villes de Roumanie ont toutes eu leurs photographes officiels et la ville de Focsani, chef-lieu du département de Vrancea, dans les Carpates de...
En Roumanie, la voix du Parti communiste roumain se faisait entendre grâce à son journal officiel Scânteia, « l’Etincelle ».
La Securitate, la police politique du régime communiste roumain, a été créée à l’image du NKVD stalinien de l’époque et elle est demeurée sous la tutelle étroite de cette dernière institution jusqu’à la fin des années 1950. Mais dès le début des années 1960, la nouvelle politique d’indépendance de la Roumanie à l’égard de l’URSS démarrée par Gheorghe Gheorghiu-Dej signe aussi le divorce entre les polices politiques des régimes pourtant frères de Bucarest et de Moscou.
Vasile Luca devient, a été aux côtés d'Ana Pauker, l’une des figures de proue de l’aile moscovite du parti communiste roumain.
La destruction de la propriété privée dans l’agriculture, appelée réforme agraire pour la cause, se profile en Roumanie dès le 6 mars 1945, lors de l’installation sous la pression des Soviétiques du premier gouvernement roumain contrôlé par les communistes.
Le nom de la famille Cerchez occupe une place à part dans l’histoire de l’architecture roumaine. C’est de cette famille que sont issus cinq architectes importants, auteurs de bâtiments emblématiques de la Capitale roumaine, Bucarest. Patrimoine architectural.
La Roumanie a accédé à la mer Noire en 1878, à l’issue de la guerre russo-turque de 1877 – 1878 et a immédiatement démarré les travaux pour construire sa flotte militaire. Durant la Seconde guerre mondiale, les bâtiments de guerre battant le pavillon roumain ont effectué des missions défense et de sauvetage pour être ensuite confisqués par les soviétiques après 1944. Retour.
Il fut un temps où le simple fait d’évoquer le nom de Ana Pauker faisait frissonner l’interlocuteur. Dans l’histoire du régime communiste roumain, cette femme de poigne, militante de la première heure, membre du premier gouvernement rouge installé à Bucarest, occupe une place certainement à part.
Sur la rive droite du Danube, à proximité de la ville actuelle de Cernavodă, l’on peut voir les ruines d’une agglomération humaine que les textes antiques mentionnent sous le nom d’Axiopolis. L’existence de ce centre urbain s’étend sur plusieurs centaines d’années, depuis l’époque hellénistique, entre les IVème et Ier siècle avant J. Ch., jusqu’à environ le VIème siècle de notre ère.
Dans les années 1930, la Roumanie était une présente constante des relations européennes menées dans les plus grandes capitales. Ayant de très bonnes relations avec Paris, Bucarest tentait de remédier aux crises et au politiques révisionnistes du système de Versailles, par la voix d'une des figures de proue de la diplomatie roumaine : Nicolae Titulescu. Histoire.
Dans l’univers de la radio, BBC demeure un repère, synonyme d’intégrité et de professionnalisme du journalisme radio. Moins connue, la section roumaine de la BBC occupe pourtant une place à part dans l’histoire centenaire de la radio publique britannique. Son lancement, au mois de septembre de l’année 1939, était justifié eu égard les eaux troubles que traversait le monde à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
C’était vers 13h00 le 21 mai 1991, que le corps gisant sans vie de l’éminent historien des religions, le professeur Ioan Petru Culianu, était trouvé dans les toilettes de l’Université de Chicago. A seulement 41 ans, la vie et la carrière prolifique de l’érudit roumain avaient été coupées net d’une balle tirée derrière sa tête. 35 années plus tard le nom de l’assassin et les raisons de cet assassinat horrible demeurent jusqu’à ce jour recouverts de mystère. Retour.
Inauguration à Bucarest d'une exposition comprenant 28 monuments restaurés représentant souverains, héros, soldats et religieux roumains, mais aussi diverses personnalités culturelles contemporaines.
Ce n’est qu’à la fin de la Première Guerre mondiale, en 1920, que le royaume de Roumanie et le Vatican jettent les bases de leurs relations bilatérales. Dès 1927, année de la signature du concordat entre le Vatican et le royaume de Roumanie, la pratique du culte catholique sera garantie.