Dans l’histoire de près de 250 années d’existence de la presse roumaine, la Gazette des mathématiques occupe une place à part. Durant ses 129 années d’existence la Gazette des mathématiques fut l’agora des meilleurs mathématiciens, chercheurs, ingénieurs, économistes et passionnés du domaine.
Le 6 février 1924, le gouvernement libéral dirigé par Ion I. C. Brătianu adoptait la loi des personnes morales, mettant hors la loi les organisations considérées comme extrémistes, soit la « Ligue national-chrétienne de défense », mouvement d’extrême droite, fondé en 1923, mais aussi le Parti communiste roumain, organisation d’extrême gauche
Une des images les plus connues du rassemblement ayant proclamé l’union de la Transylvanie avec la Roumanie est nécessairement présente dans les manuels scolaires, dans les documentaires consacrés à cet événement centenaire, dans les musées et sur les lieux publics à travers le pays. C’est une photographie qui montre un grand nombre de gens rassemblés dans un champ appelé « Câmpul lui Horea/Le Champ de Horea »
Commémoration de la première publication de cet auteur roumain, connu pour son livre monumental, en trois tomes, intitulé « L’histoire de la civilisation roumaine moderne », paru cent ans auparavant.
Dans leur ouvrage intitulé « L’armée roumaine pendant la Seconde Guerre mondiale », les historiens Alesandru Duțu, Florica Dobre et Leonida Loghin notent que de ces plus de 90 000 prisonniers soviétiques, 13 682 avaient été libérés par décision du gouvernement roumain, s’agissant de prisonniers d’origine roumaine, originaires de ces deux provinces historiques, la Bessarabie et le Nord de la Bucovine, occupées par l’URSS un an auparavant.
Peu d’intellectuels roumains ont eu des préoccupations tellement diverses et à un niveau si élevé que Titu Maiorescu. Avocat, critique littéraire, essayiste, esthète, philosophe, pédagogue, homme politique et écrivain, Titu Maiorescu figure aux côtés de Petre P. Carp, parmi les figures de proue de la société littéraire « Junimea », où ont faits leurs débuts les auteurs roumains les plus importants. Titu Maiorescu et la renaissance de la culture roumaine.
L’usage des statères s’est répandu dans la Dobroudja d’aujourd’hui grâce aux colonies grecques établies tout au long du pourtour de la mer Noire, partie prenante du monde grec
Les villes de Roumanie ont toutes eu leurs photographes officiels et la ville de Focsani, chef-lieu du département de Vrancea, dans les Carpates de...
En Roumanie, la voix du Parti communiste roumain se faisait entendre grâce à son journal officiel Scânteia, « l’Etincelle ».
La Securitate, la police politique du régime communiste roumain, a été créée à l’image du NKVD stalinien de l’époque et elle est demeurée sous la tutelle étroite de cette dernière institution jusqu’à la fin des années 1950. Mais dès le début des années 1960, la nouvelle politique d’indépendance de la Roumanie à l’égard de l’URSS démarrée par Gheorghe Gheorghiu-Dej signe aussi le divorce entre les polices politiques des régimes pourtant frères de Bucarest et de Moscou.
Vasile Luca devient, a été aux côtés d'Ana Pauker, l’une des figures de proue de l’aile moscovite du parti communiste roumain.
La destruction de la propriété privée dans l’agriculture, appelée réforme agraire pour la cause, se profile en Roumanie dès le 6 mars 1945, lors de l’installation sous la pression des Soviétiques du premier gouvernement roumain contrôlé par les communistes.
Le nom de la famille Cerchez occupe une place à part dans l’histoire de l’architecture roumaine. C’est de cette famille que sont issus cinq architectes importants, auteurs de bâtiments emblématiques de la Capitale roumaine, Bucarest. Patrimoine architectural.
La Roumanie a accédé à la mer Noire en 1878, à l’issue de la guerre russo-turque de 1877 – 1878 et a immédiatement démarré les travaux pour construire sa flotte militaire. Durant la Seconde guerre mondiale, les bâtiments de guerre battant le pavillon roumain ont effectué des missions défense et de sauvetage pour être ensuite confisqués par les soviétiques après 1944. Retour.
Il fut un temps où le simple fait d’évoquer le nom de Ana Pauker faisait frissonner l’interlocuteur. Dans l’histoire du régime communiste roumain, cette femme de poigne, militante de la première heure, membre du premier gouvernement rouge installé à Bucarest, occupe une place certainement à part.