Cette troisième partie de la trilogie, dont le réalisateur Stere Gulea a aussi écrit le scénario, s’appuie sur le journal intime de l’écrivain Marin Preda, mais également sur des documents, privés ou publics, qui recréent l’atmosphère des années 1950, une époque marquée par une très forte tension sociale et idéologique, par l’ascension du parti communiste, devenu le seul parti politique officiel en Roumanie.
Un des films roumains les plus émouvants de l’année dernière.
La deuxième édition du Festival international du film FILMIKON a présenté une sélection de productions récompensées par des jurys œcuméniques et inter-religieux à une trentaine de festivals du film à travers le monde et les années ; elle a aussi facilité un dialogue sur les valeurs chrétiennes et humaines à partir de ces productions.
Résultat d’un tournage de quatre ans, c'est premier film documentaire roumain qui se propose de présenter les réalités, les aspirations et les défis des jeunes de la Génération Z.
Un nouveau film roumain vient de sortir dans les salles de cinéma du pays pour s’attaquer à un sujet majeur et nécessaire. « Clara », le long métrage de début du réalisateur Sabin Dorohoi, met au premier plan l’histoire des millions de Roumains obligés à partir à l’étranger pour assurer une vie meilleure à leurs familles. Cinéma et société.
En Roumanie, elle a déjà remporté trois prix GOPO du cinéma national et neuf nominations pour sa contribution à des productions telles que « Eu când vreau să fluier, fluier / Moi, quand je veux siffler, je siffle », « Loverboy », « Un pas în urma serafimilor / Un pas derrière les séraphins », « Funeralii fericite / Heureuses obsèques », « Aferim ! », « Câmp de maci / Un champ de coquelicots » ou bien « Nu aștepta prea mult de la sfârșitul lumii / N’attends pas trop de la fin du monde ».
Ce film écrit et réalisé par le Roumain Bogdan Mureșanu, est pris en compte pour une nomination aux prix de l’Académie européenne du cinéma, qui récompense les plus importantes productions cinématographiques européennes.
Des salles de théâtre mais aussi des espaces non conventionnels de Bucarest ont accueili la trente-quatrième édition du Festival national de théâtre, véritable marathon de spectacles et de nombreux autres événements connexes.
La 19e édition du Festival Animest organisée du 4 au 13 octobre met un coup de projecteur sur les films italiens d’animation. Cette année, le public a eu l’occasion unique d’explorer la richesse et la diversité de l’animation grâce à une sélection impressionnante de films, d’invités et d’événements, qui mettent au premier plan des classiques du genre ainsi que des créations contemporaines de renommée internationale.
La carrière de Niko Becker a débuté sur la scène du Théâtre allemand d’Etat de Timișoara. On le retrouve aujourd'hui dans « Spre nord », premier long-métrage de Mihai Mincan réalisé grâce à une coproduction européenne réunissant cinq pays, et qui raconte l’histoire de Joël, un marin philippin très croyant, qui travaille sur un bateau transatlantique à bord duquel il découvre Dumitru, passager clandestin caché parmi les conteneurs.
Chaque été, le cinéma indépendant est mis à l’honneur en Roumanie, dans le cadre du Festival international de film indépendant Anonimul, qui se tient à Sfantu Gheorghe, là où le Danube se jette dans la mer Noire. Nous passons en revue les nouveautés de cette 21e édition d’un festival pas comme les autres.
Le film roumain « Trei kilometri până la capătul lumii / Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde » (réalisé par Emanuel Pârvu), sélectionné, cette année, dans la compétition officielle au Festival de Cannes, a été récompensé de la Palme Queer.
Bogdan Dumitrache a gagné trois trophées Gopo, du cinéma roumain: en 2011 pour le « Portrait de jeunesse du combattant » (de Constantin Popescu), en 2012 pour « Par amour avec les meilleures intentions » (d’Adrian Sitaru) et en 2019 pour « Pororoca » (de Constantin Popescu).
Cela fait plus de trente ans qu’Andrei Ursu se bat pour faire connaître la vérité sur la mort de son père.
Parue aux éditions Deep Vellum Publishing à l’automne 2022, la traduction de Sean Cotter a compté parmi les meilleurs livres de l’année, recueillant des chroniques élogieuses dans des publications importantes telles que The New York Times, The New Yorker, Publishers Weekly, The Financial Times.