L’absence de l’exercice intellectuel et cérébral, les angoisses, la haine, les pensées négatives mènent tout droit à l’apparition des maladies neuro-dégénératives.
Dans l’expérience extrême de la guerre, le défaitisme et la désertion risquent de porter un coup mortel au moral des troupes et des civils. Dans la terrible confrontation qu’a été la Grande Guerre, la désertion se devait être réprimée de la manière la plus sévère par les armées des deux camps. Mais en dépit des mesures prises par la hiérarchie militaire, aucune armée n’a échappé au phénomène délétère. L’armée roumaine pas plus que les autres. Retour.