Divergences à l’égard du budget d’Etat
La rencontre de mardi entre le président Traian Bàsescu et le premier ministre Victor Ponta vouée identifier une solution agrée à l’égard de la valeur de l’accise aux combustibles est restée sans résultat. Les deux parties sont restées sur des positions diamétralement opposées : le chef de l’Etat insiste sur le fait que l’argent collecté au budget par la hausse de 7 euro-centimes de l’accise aux combustibles pourrait être utilisé à des fins électoraux tandis que le premier ministre rappelle que cette mesure a été déjà convenue avec les créditeurs internationaux. Usant des procédures constitutionnelles, Traian Bàsescu a annoncé le renvoi de la loi du budget 2014 au Parlement pour re-examen accompagné des propositions précises d’où réduire les allocations de sorte à maintenir le déficit convenu avec les institutions financières sans le besoin d’accroître l’accise appliquée aux combustibles.
Corina Cristea, 04.12.2013, 13:45
La rencontre de mardi entre le président Traian Bàsescu et le premier ministre Victor Ponta vouée identifier une solution agrée à l’égard de la valeur de l’accise aux combustibles est restée sans résultat. Les deux parties sont restées sur des positions diamétralement opposées : le chef de l’Etat insiste sur le fait que l’argent collecté au budget par la hausse de 7 euro-centimes de l’accise aux combustibles pourrait être utilisé à des fins électoraux tandis que le premier ministre rappelle que cette mesure a été déjà convenue avec les créditeurs internationaux. Usant des procédures constitutionnelles, Traian Bàsescu a annoncé le renvoi de la loi du budget 2014 au Parlement pour re-examen accompagné des propositions précises d’où réduire les allocations de sorte à maintenir le déficit convenu avec les institutions financières sans le besoin d’accroître l’accise appliquée aux combustibles.
Selon le président, il y a, au Ministère du Développement Régional un répartition budgétaire excessive, tout comme au chapitre « Service de la dette » : « Je fais mon devoir moral en tant que président voyant que sur les épaules des roumains s’accumule dans le budget de l’Etat de l’argent pour la clientèle politique. Mais je ne saurais avoir que des actions conformes à la loi, c’est à dire renvoyer le budget au Parlement et, éventuellement, en cas de situation non-constitutionnelle, de l’attaquer à la Cour Constitutionnelle. Rien que cela. Je ne peux pas imposer par d’autres moyens au Gouvernement de renoncer à l’arrêt d’urgence modifiant le Code Fiscal, après le renvoi du budget au Parlement, si celui-ci est adopté sous la même forme, je suis obligé de le promulguer. »
Le premier ministre Victor Ponta a caractérisé, à son tour, l’attitude du président comme étant inflexible : « Le président va renvoyer la loi, il va la contester à la Cour Constitutionnelle. Mon espoir et ma prière ont été, pourtant, que ces procédures, qu’il a reconnu lui-même ne jamais avoir utilisées, aucun président ne l’a fait depuis 23 ans, mais, enfin, c’est comme ça, il faut vivre également cette première, la prière de le faire, pourtant, dans un délai raisonnable de sorte à pouvoir avoir un budget jusqu’au 1-er janvier. Il n’a rien garanti, ni oui, ni non. »
Selon l’opinion de l’analyste économique Aurelian Dochia, les deux méthodes, celle du Gouvernement et celle suggérée par le président, de réduire les dépenses et renoncer à la hausse des taxes, sont faisables. En fin de compte — dit Dochia — il s’agit d’une option politique car, du point de vue technique, il y a toujours d’autres versions de la construction budgétaire. Pour le moment, les divergences ont eu pour répercussion la hausse du cours taux de change euro-leu. (trad.: Costin Grigore)