30.09.2015
ONU – Le chef de l’Etat roumain a achevé sa visite officielle aux Etats-Unis où il a participé au sommet anniversaire de l’ONU consacré au développement durable de la planète dans les 15 années à venir. Face aux leaders mondiaux réunis au sommet, Klaus Iohannis a présenté trois discours portant sur la lutte contre le terrorisme, la crise des réfugiés, l’éradication de la pauvreté et l’égalité de genre. Il a également participé au sommet consacré à la lutte contre le groupe Etat Islamique et l’extrémisme violent, initié et accueilli par le président américain Barack Obama et a eu un entretien bilatéral avec le vice président américain Joe Biden au sujet du partenariat stratégique Roumanie-Etats-Unis. Le chef de l’Etat roumain a eu de nombreux entretiens bilatéraux et a rencontré des représentants de la communauté roumaine de New York.
Newsroom, 30.09.2015, 13:30
ONU – Le chef de l’Etat roumain a achevé sa visite officielle aux Etats-Unis où il a participé au sommet anniversaire de l’ONU consacré au développement durable de la planète dans les 15 années à venir. Face aux leaders mondiaux réunis au sommet, Klaus Iohannis a présenté trois discours portant sur la lutte contre le terrorisme, la crise des réfugiés, l’éradication de la pauvreté et l’égalité de genre. Il a également participé au sommet consacré à la lutte contre le groupe Etat Islamique et l’extrémisme violent, initié et accueilli par le président américain Barack Obama et a eu un entretien bilatéral avec le vice président américain Joe Biden au sujet du partenariat stratégique Roumanie-Etats-Unis. Le chef de l’Etat roumain a eu de nombreux entretiens bilatéraux et a rencontré des représentants de la communauté roumaine de New York.
Compétitivité – La compétitivité de la Roumanie s’est légèrement améliorée par rapport de l’année dernière, selon le dernier rapport sur la compétitivité mondiale 2015/2016 établi par le Forum économique mondial (WEF), rendu public mercredi à Genève. Dans ce rapport, la Roumanie se situe 53e parmi les 140 pays les plus compétitifs du monde. Pour la 7e année consécutive, la Suisse occupe le premier rang de ce classement, suivie par Singapour et les Etats-Unis, un tiercé gagnant inchangé par rapport a l’édition précédente. Concernant l’Europe, le WEF relève que « l’Espagne, l’Italie, le Portugal et la France ont fait des avancées significatives pour booster la compétitivité ». Parmi les pays émergents, où la Chine reste la plus compétitive, le WEF salue la performance de l’Inde, qui après cinq années de déclin, a grimpé 16 places et occupe le 55e rang. Les dernières places reviennent cette année à la Mauritanie, au Tchad et à la Guinée. Selon le rapport, la Roumanie bénéficie d’un très bon environnement macroéconomique et elle est appréciée par l’ampleur de son marché. L’étude du WEF, réalisée auprès de 14.000 chefs d’entreprise dans 140 pays, donne un classement mondial des pays les plus compétitifs, sur la base de 12 piliers considérés comme des indicateurs de la compétitivité. Ces piliers sont notamment les institutions, les infrastructures, l’environnement macroéconomique, la santé et l’éducation primaire, l’efficacité du marché du travail, le développement des marchés financiers, et l’innovation, selon AFP.
FMI – Le président par intérim du PSD, Liviu Dragnea, a déclaré que le gouvernement doit examiner sérieusement la nécessité d’un nouvel accord avec le FMI. Un document qui n’est pas du tout nécessaire, opine, en réplique, Vasile Blaga, co-président du PNL, principal parti d’opposition. Les déclarations surviennent après que le ministre des Finances, Eugen Teodorovici, a fait savoir que la Roumanie demanderait la conclusion d’un nouvel accord avec le FMI avant la fin de l’année. Une initiative saluée par le premier ministre Victor Ponta mais qui nécessite des consultations avec les partis politiques.
Classement- Le président roumain, Klaus Iohannis, continue à bénéficier du meilleur taux de confiance auprès de la population roumaine, selon un baromètre INSCOP réalisé à la demande du journal Adevarul. Plus de 58,6% des personnes questionnées ont affirmé lui faire confiance, voir beaucoup de confiance, 3% de moins qu’en juillet. La deuxième position revient au gouverneur de la Banque centrale roumaine, Mugur Isarescu, 41,6% d’opinions favorables, suivi par l’ambassadeur roumain aux Etats-Unis, George Maior, 29,7% et le premier ministre Victor Ponta, 22,8%. Les dernières positions du classement sont occupées par le co-leader libéral, Vasile Blaga, l’ancien chef du PNL, Crin Antonescu ou encore l’ex-chef d’Etat roumain, Ion Iliescu. Le sondage a été réalisé du 10 au 15 septembre dernier auprès d’un millier de personnes.