29.01.2013
Intempéries — Les autorités roumaines ont placé mercredi en état d’alerte sept départements du sud-est de la Roumanie en raison d’une vigilance rouge aux tempêtes de neige et au vent très fort. Près de 200 trains ont été supprimés, et par endroits le trafic est soumis à des restrictions. Les ports à la mer Noire ont été fermés pour cause de vent fort, alors que la navigation a été suspendue sur les canaux Danube — Mer Noire et à la barre de Sulina. Deux des trois autoroutes et plusieurs routes nationales et départementales sont fermées ou partiellement bloquées. Dans l’enseignement secondaire, les classes sont suspendues pour la 3e journée de suite, dans la capitale et les départements du sud et du sud-est du pays. Le temps reste couvert et il fait très froid dans tout le territoire, surtout dans l’est, le sud et le centre du pays. Des chutes abondantes de neige sont signalées, ainsi que des rafales de vent, jusqu’à 50-60 km/h. Les minimas iront de moins 16 à 2 degrés et les maximas de moins 14 à 5 degrés.
România Internațional, 29.01.2014, 18:45
Intempéries — Les autorités roumaines ont placé mercredi en état d’alerte sept départements du sud-est de la Roumanie en raison d’une vigilance rouge aux tempêtes de neige et au vent très fort. Près de 200 trains ont été supprimés, et par endroits le trafic est soumis à des restrictions. Les ports à la mer Noire ont été fermés pour cause de vent fort, alors que la navigation a été suspendue sur les canaux Danube — Mer Noire et à la barre de Sulina. Deux des trois autoroutes et plusieurs routes nationales et départementales sont fermées ou partiellement bloquées. Dans l’enseignement secondaire, les classes sont suspendues pour la 3e journée de suite, dans la capitale et les départements du sud et du sud-est du pays. Le temps reste couvert et il fait très froid dans tout le territoire, surtout dans l’est, le sud et le centre du pays. Des chutes abondantes de neige sont signalées, ainsi que des rafales de vent, jusqu’à 50-60 km/h. Les minimas iront de moins 16 à 2 degrés et les maximas de moins 14 à 5 degrés.
Crise – Le premier président de lUkraine indépendante, Léonid Kravtchouk, a souligné devant le Parlement de Kiev, mercredi, que le pays se trouve « au bord de la guerre civile ». Pendant ce temps, à Moscou, le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, a déclaré que la Russie attendait un nouveau gouvernement à Kiev pour mettre en place les accords parachevés en décembre sur un crédit financier accordé à l’Ukraine et une diminution du prix des gaz naturels. Mardi, le cabinet de Mykola Azarov a démissionné sous la pression des manifestations pro-européennes. A Bucarest, le ministère roumain des Affaires étrangères a déclaré suivre attentivement l’évolution de la situation en Ukraine ainsi que celle des membres de la communauté roumaine, concentrée dans la partie ouest du pays, et qui compte un demi-million de personnes.
Stratégie — Le Ministère roumain des Affaires Etrangères et la Commission Européenne organisent jeudi, à Bucarest, une conférence sur l’utilisation du potentiel de développement de la Mer Noire. Y participent entre autres, la commissaire européenne aux Affaires maritimes et à la pêche, Maria Damanaki et le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean. La conférence réunit des représentants du domaine public et privé de tous les pays riverains de la Mer Noire, à savoir la Bulgarie, la Fédération Russe, la Turquie, la République de Moldova, l’Ukraine, la Géorgie et la Roumanie. Selon le Ministère roumain des Affaires Etrangères, la conférence se donne pour but d’encourager la mise en place de nouveaux projets transfrontaliers dans des domaines tels la conservation du milieu marin, la pêche durable, l’aquaculture, l’encouragement de l’économie à travers des projets transfrontaliers dans la région de la Mer Noire.
Taxe — Il serait bien possible de reporter de trois mois l’introduction d’une accise de sept centimes d’euros sur le carburant, mais uniquement sur le diesel. C’est ce qu’a affirmé mercredi le premier ministre roumain, Victor Ponta. Et lui d’ajouter qu’il serait très important pour le gouvernement de maintenir ses objectifs de croissance économique et les réformes structurelles assumées lors des discussions avec le FMI, la Commission européenne et la Banque mondiale. Le report de trois mois de l’introduction de l’accise serait possible seulement si l’économie le permet, a-t-il encore dit.