Visite – En visite officielle aux Etats Unis, le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a rencontré samedi des représentants de la communauté roumaine de la ville de New York. Toujours au menu de son agenda de samedi : un entretien avec son homologue chinois Xi Jinping et un dîner offert par le premier ministre nippon Shinzo Abe. Vendredi, il a participé à l’ouverture du Sommet de l’ONU consacré à l’adoption de l’agenda post-2015, et s’est entretenu avec le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Mogens Lykketoft. Au menu de cette visite qui prendra fin le 29 septembre, figure également un entretien avec le vice-président américain, Joe Biden, au sujet de la crise des réfugiés et de la lutte contre le terrorisme.
Réfugiés- A l’heure où l’on parle, la Roumanie ne subit aucune pression migratoire et les autorités locales ont adopté toutes les mesures censées assurer la sécurité nationale, a déclaré samedi le vice premier ministre et ministre des Affaires Intérieures, Gabriel Oprea. Et lui d’ajouter que Bucarest s’est dit prêt à accueillir 1785 migrants et s’est prononcé, tout comme la Slovaquie, la République Tchèque et la Hongrie, contre les quotas obligatoires de réfugiés par lesquelles Bruxelles répartit à la Roumanie 2475 migrants de plus. Le vice premier ministre roumain a tenu à rappeler que la Roumanie a mis en place six centre d’accueil pour les réfugiés auxquels s’ajoutent deux camps récemment ouverts dans le département de Timis, près des frontières avec la Hongrie et la Serbie.
Accord – L’accord de la Roumanie avec le Fonds monétaire international a expiré samedi, après avoir été bloqué l’année dernière. De l’avis des experts, il faut s’attendre à ce que les deux parties définissent bientôt une direction d’évolution claire de leurs relations. La révision de l’actuel accord, d’un montant de 4 milliards d’euros, avec les bailleurs internationaux, a été bloquée depuis juin 2014 par l’absence d’un autre accord sur les plans fiscaux du gouvernement de Bucarest. Les autorités roumaines ont essayé, au cours de la première partie de cette année, d’adopter un paquet substantiel de réductions de taxes par le biais du nouveau Code fiscal, mais les représentants des institutions financières internationales, ainsi que le Conseil fiscal et la Banque Nationale de Roumanie ont critiqué cette démarche. Ce mois, le ministre des finances, Eugen Teodorovici, a déclaré que Bucarest avait l’intention d’ouvrir des discussions avec les bailleurs internationaux sur un nouvel accord d’assistance qui entre en vigueur en 2016. Dans son opinion, cet accord est nécessaire pour protéger la Roumanie contre les chocs du marché.
Visite – En visite officielle aux Etats Unis, le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a rencontré samedi des représentants de la communauté roumaine de la ville de New York. Toujours au menu de son agenda de samedi : un entretien avec son homologue chinois Xi Jinping et un dîner offert par le premier ministre nippon Shinzo Abe. Vendredi, il a participé à l’ouverture du Sommet de l’ONU consacré à l’adoption de l’agenda post-2015, et s’est entretenu avec le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Mogens Lykketoft. Au menu de cette visite qui prendra fin le 29 septembre, figure également un entretien avec le vice-président américain, Joe Biden, au sujet de la crise des réfugiés et de la lutte contre le terrorisme.
Réfugiés- A l’heure où l’on parle, la Roumanie ne subit aucune pression migratoire et les autorités locales ont adopté toutes les mesures censées assurer la sécurité nationale, a déclaré samedi le vice premier ministre et ministre des Affaires Intérieures, Gabriel Oprea. Et lui d’ajouter que Bucarest s’est dit prêt à accueillir 1785 migrants et s’est prononcé, tout comme la Slovaquie, la République Tchèque et la Hongrie, contre les quotas obligatoires de réfugiés par lesquelles Bruxelles répartit à la Roumanie 2475 migrants de plus. Le vice premier ministre roumain a tenu à rappeler que la Roumanie a mis en place six centre d’accueil pour les réfugiés auxquels s’ajoutent deux camps récemment ouverts dans le département de Timis, près des frontières avec la Hongrie et la Serbie.
Accord – L’accord de la Roumanie avec le Fonds monétaire international a expiré samedi, après avoir été bloqué l’année dernière. De l’avis des experts, il faut s’attendre à ce que les deux parties définissent bientôt une direction d’évolution claire de leurs relations. La révision de l’actuel accord, d’un montant de 4 milliards d’euros, avec les bailleurs internationaux, a été bloquée depuis juin 2014 par l’absence d’un autre accord sur les plans fiscaux du gouvernement de Bucarest. Les autorités roumaines ont essayé, au cours de la première partie de cette année, d’adopter un paquet substantiel de réductions de taxes par le biais du nouveau Code fiscal, mais les représentants des institutions financières internationales, ainsi que le Conseil fiscal et la Banque Nationale de Roumanie ont critiqué cette démarche. Ce mois, le ministre des finances, Eugen Teodorovici, a déclaré que Bucarest avait l’intention d’ouvrir des discussions avec les bailleurs internationaux sur un nouvel accord d’assistance qui entre en vigueur en 2016. Dans son opinion, cet accord est nécessaire pour protéger la Roumanie contre les chocs du marché.
Météo- En Roumanie, la météo reste capricieuse. Les météorologues avertissent sur le risque de pluies à verse sur l’ensemble du territoire de dimanche à midi et jusqu’à lundi, vers midi. Les minima iront de 10 à 20 degrés, tandis que les maxima grimperont jusqu’à 25 degrés seulement.