24.01.2014 (mise à jour)
Accident – Le premier ministre roumain, Victor Ponta, a annoncé avoir sollicité à son Corps de contrôle de vérifier, aux côtés du Ministère des Transports, la manière dont l’Administration nationale du Trafic Aérien a géré la crise consécutive à l’accident d’aviation de lundi soldé par deux morts et cinq blessés. Aux dires du chef du cabinet, selon les résultats de l’enquête, il est de plus en plus évident que la faute appartient à la société de contrôle aérien ROMATSA et au Service de Télécommunications spéciales qui avaient l’obligation et les moyens techniques nécessaires de localiser l’épave de l’avion.
România Internațional, 24.01.2014, 22:05
Accident – Le premier ministre roumain, Victor Ponta, a annoncé avoir sollicité à son Corps de contrôle de vérifier, aux côtés du Ministère des Transports, la manière dont l’Administration nationale du Trafic Aérien a géré la crise consécutive à l’accident d’aviation de lundi soldé par deux morts et cinq blessés. Aux dires du chef du cabinet, selon les résultats de l’enquête, il est de plus en plus évident que la faute appartient à la société de contrôle aérien ROMATSA et au Service de Télécommunications spéciales qui avaient l’obligation et les moyens techniques nécessaires de localiser l’épave de l’avion.
FMI – La perception générale est que la Roumanie a eu jusqu’à présent des performances importantes réussissant à surmonter la crise économique — a déclaré Andrea Schaechter, chef de la délégation du FMI à Bucarest. La Roumanie a réduit son déficit fiscal de plus de 6,5% du PIB étant un des 11 Etats membres qui ne se trouvent plus en procédure de déficit excessif tout en excellant au chapitre croissance économique. Par ailleurs, il est important que l’économie roumaine, à son tour, puisse faire face aux problèmes qui apparaissent à l’échelon global — a déclaré Andrea Schaechter. Une mission du FMI, de la Banque Mondiale et de Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 5 février pour discuter concernant la première et la deuxième évaluation de l’accord préventif conclu avec la Roumanie en automne dernier. Les membres de cette mission vont rencontrer, hormis les autorités, les représentants des partis politiques, des syndicats, des associations des hommes d’affaires, des banques et des organisations de la société civile.
Etude – La plupart des Roumains (87%) ne peuvent pas faire la différence entre le caviar provenant du commerce légal et celui d’origine illégale, selon une étude réalisée par la société de recherche Ipsos à l’initiative de World Wide Fund Roumanie. L’étude montre que plus de la moitié des sujets interrogés se disent prêts à consommer du caviar ou des dérivés d’esturgeon, tandis que 66% d’entre eux ignorent le fait que pour obtenir le caviar, les esturgeons doivent être sacrifiés. Le projet WWF Roumanie Life- Protégez les esturgeons, le don le plus important offert par le Danube” représente une majeure contribution à la protection de la biodiversité européenne et se propose de lutter pour assurer la survie de cette espèce à grand potentiel économique et naturel. La Roumanie et la Bulgarie sont les deux derniers pays de lUnion européenne où lon trouve des populations viables desturgeon sauvage.