23.10.2013 (mise à jour)
Accord – La mission commune du FMI, de la Banque Mondiale et de la Commission européenne évalue, à Bucarest, le dernier accord conclu avec la Roumanie. Cet accord, de type préventif, a été approuvé par le comité directeur du FMI le 27 septembre dernier pour une période de 2 ans. Il se chiffre à 2 milliards d’euros environ, auxquels s’ajoutent deux autres milliards de la Commission européenne. Mercredi, les experts des bailleurs de fonds internationaux ont discuté avec les représentants du ministère des Finances en marge des prévisions de budget pour cette année et à moyen terme. Ils ont également rencontré des spécialistes du ministère de l’Economie avec lesquels ils ont parlé de la promotion des exportations et de la stratégie pour une meilleure réglementation et une diminution de la charge administrative qui pèse sur les PME.
România Internațional, 23.10.2013, 23:31
Accord – La mission commune du FMI, de la Banque Mondiale et de la Commission européenne évalue, à Bucarest, le dernier accord conclu avec la Roumanie. Cet accord, de type préventif, a été approuvé par le comité directeur du FMI le 27 septembre dernier pour une période de 2 ans. Il se chiffre à 2 milliards d’euros environ, auxquels s’ajoutent deux autres milliards de la Commission européenne. Mercredi, les experts des bailleurs de fonds internationaux ont discuté avec les représentants du ministère des Finances en marge des prévisions de budget pour cette année et à moyen terme. Ils ont également rencontré des spécialistes du ministère de l’Economie avec lesquels ils ont parlé de la promotion des exportations et de la stratégie pour une meilleure réglementation et une diminution de la charge administrative qui pèse sur les PME.
Entretiens- Mercredi, au dernier jour de sa visite aux Etats-Unis, le premier ministre roumain Victor Ponta a rencontré le secrétaire américain au Commerce, Penny Pritzker, avec qui il a discuté du développement des relations économiques et commerciales. Ce même sujet avait été abordé aussi mardi, avec le vice président américain Joe Biden. Un autre sujet à l’agenda a été le partenariat stratégique politique et militaire entre les deux pays.
Schengen – Le gouvernement espagnol soutient l’intégration de la Roumanie à l’espace Schengen, a déclaré le ministre espagnol de la Justice, Alberto Ruiz Gallardon, qui a rencontré son homologue roumain, Robert Cazanciuc, mercredi, à Madrid. Les deux officiels ont abordé des thèmes d’intérêt commun à l’agenda des deux gouvernements, à savoir la réforme de la Justice, la lutte contre la corruption, la coopération judiciaire en matière civile et pénale et des problématiques visant la communauté roumaine d’Espagne. Rappelons que l’été dernier, le premier ministre roumain Victor Ponta et son homologue espagnol, Mariano Rajoy, ont décidé de développer les relations bilatérales en un partenariat stratégique.
Visite – Les exportations roumaines en Israël se sont chiffrées, les 8 premiers mois de l’année, à 215 millions de dollars, dont 10% dans le domaine de l’agriculture, a déclaré, à Jérusalem, le ministre roumain de profil, Daniel Constantin. Il se trouve ces jours-ci en viste officielle dans l’Etat hébreu et en Palestine. A Ramallah, Daniel Constantin rencontrera son homologue, Walid Assaf, et d’autres dignitaires palestiniens. Mardi, l’officiel roumain a pris part à l’ouverture de l’Exposition internationale pour la technologie de l’eau et le contrôle de l’environnement – WATECWATEC 2013 — qui réunit les meilleures compagnies israéliennes et internationales.
Défense – Les travaux de construction en Roumanie du système de défense antimissile AEGIS, seront lancés d’ici fin octobre aux termes du projet du bouclier antimissile en Europe, a déclaré à Bruxelles, le secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen. Il s’exprimait à l’issue de la réunion des ministres de la Défense des Etats membres de l’Alliance. Selon Rasmussen, le bouclier antimissile en Europe va protéger d’ici 2018 l’ensemble de la population des pays membres de l’OTAN. Le secrétaire général de l’Alliance a réitéré que le bouclier, dont le but est contrecarrer les menaces de la Corée du nord et de l’Iran, revêt un caractère strictement défensif. Il a également proposé à la Russie d’y participer. Celle-ci considère que le système est dirigé contre elle.